- Puisque nous avons un peu de temps, tu peux me poser toutes les questions que tu veux. Et je te previens, la visite va être longue. Au fait, sa te derange que je te tutois ?

- Bien au contraire. Je suis plus à l'aise comme ça. Tu peux m'appeler Alex.

- Alex ? j'aime beaucoup.

Au fur et à mesure que l'on discutait, je contemplai chaque edifice du chateau. Tout le rez de chaussé servait à reunir les elèves, et le bureau du directeur se trouvait à l'autre bout du couloir. les neufs escaliers fait de bois et de marbres rescenssaient au dire de Daniel, 120 marche chacun. 3600 pièces en comptant les sous terrain. Chaque elève possède sa chambre et c'est en ouvrant la porte de celle qui allait être la mienne, que je découvris la beauté de cette dernière.

Les elèves que l'on croisait me fixaient avec insistance avant de me dire un "bonjour" plutôt timide. À croire qu'ils savaient que j'étais nouvelle.

- Je crois que ton premier cours est à neuf heure demain matin. Donc comme tu as dû le constater tout le second et troisième etages sont uniquement les chambres étudiants. Et le quatrième étage ne comporte que des salles de classe, numeroté. Comme sur ton planing, la salle numero 3 est donc ton cours de musique.

- Je penses, que je vais m'en sortir !

- De toute façon si tu as un soucis; il te suffit de m'appeler.

Je leva les yeux sur le dernier étage.

- Oh, ça ! Cette etage donne sur la cour. C'est aussi là que se trouve la dernière salle de classe, qui est assez particulière. C'est la numero 1. Au cas ou que tu en aurais besoin. Dit il en s'éloignant.

Je restai planté là, à admirer ce qui m'entourait. Puis, le son du piano m'interpela, je m'avançai pour voir ce qu'il en était. Je pu contempler un jeune homme qui jouait un aire de Fréderic Chopin.

- Pourquoi restes tu à la porte ?

Il se retourna, en me souriant d'un air chaleureux.

- Je ne voulais pas t'interompre. Désolé.

- J'avais fini de toute façon. Tu avais besoin du piano ?

- Non j'admirais simplement la melodie. Excuse-moi, je suis Alexandra,

Il m'interompit.

- Alexandra Beauville. Enchanté, je suis Ismaël.

- Enchanté Ismaël. Tu me donnes l'impression que tout le monde me connait deja.

- C'est le cas. Nous t'attendions tous avec impatience. Tu es une légende ici.

- Je doute être une legende . . .

- Pourquoi ?

- Je trouve cette école de plus en plus étrange.

- Et tu n'as encore rien vu ! Je suis égualement en première année, demain nous aurons cour ensemble. Comme je connais assez bien les lieux, si tu veux, nous pourrions nous retrouver dans l'allée du troisièmes étage ?!

- Merci. Je suis contente de faire connaissance avec l'un de mes camarades.

Son air froid c'était dissipé quand il me lança un sourir. Il se leva, fit un geste de la tête pour enlever sa meche de cheveux qui lui retombait dans l'oeil. Il me racompagna ensuite jusque ma chambre avant de rejoindre la sienne. Ce soir le diné était servit directement dans nos appartement. Après un repas très copieux, je m'installa sur la banquette qui se trouvait aux abord de ma fenetre. La vu de nuit était aussi belle que celle du jour, le lac qui longeait le bord du chateau brillait, sous le ciel étoilé. Je pu contempler la lune arrondit qui m'éclairai en plus de la bougie. Jusqua ce que je m'endorme.

Les brouas du couloir me reveilla, il n'était que vingt-trois heures. Je passa ma tête à travers la porte.

Tout les regard se tourna vers moi, un silence de marbre s'installa. Je ne sais pas combien de temps c'était écoulé, mais j'avai l'impression que se fût une eternité. Une jeune fille s'approcha en se tenant devant moi, me dévisageant de bas en haut. Ses yeux vert, perçant, semblaient à eux seul me persécuter, comme si elle penetrait au plus profond de mon âme.

- Je suis Elisa. Elle brisa soudainement le silence, l'ambiance du couloir changea immédiatement, et l'animation reprit son plein.

Il ne restait plus que nous deux face à face, j'étai resté de marbre devant cette fille vêtu d'une tenu de cléopatre qui faisait ressortir son teint bronzé.

- Et moi,

- Tout le monde sais qui tu es. Alex c'est ça ?

- Oui.

- C'est Daniel qui t'a fait visité l'école, et toutes les filles se l'arrache. Ça fait des jours qu'on est au courant d'une nouvelle qui arriverait dans notre établissement. Comme toutes les filles s'interesse à Daniel, tu imagines la jalousie que tu as pu procuré dans nos coeur ?!

- Oh ! Je suis navré. Mais si ça peu vous consoler, il ne m'interesse pas du tout.