De plus en plus étrange !
Au reveil, j'avais du mal à me sortir de mon lit. Les confidences que m'avait fait Elisa et Aïda hier soir ne m'avais pas aidé. Si Daniel est le prince de Fabia, et que cette école s'appel Fabia, alors je ne suis pas en nouvelles-Ecosse ? Elles n'avaient pas pu m'expliquer d'avantage car selon elles je n'avais pas l'esprit assez ouvert.
J'ai l'esprit ouvert !
J'ai juste l'impression qu'on me prend un peu pour une idiote, ici.
On toqua à ma porte, Elisa m'attendait avec un café à la main. Sans doute voulait elle se faire pardonner.
- On a cour de musique ensemble, tu veux que je t'accompagne ?
- Daccord. Mais je dois rejoindre Ismaël devant les escaliers.
- Qui est Ismaël ?
- Tu ne le connais pas ? Il est en cour avec nous.
- Ça, ça m'étonnerai !
- Pourquoi ?
- Si ton Ismaël est bien un mec, il a cour avec les mecs. C'est très rare qu'on partage un cour avec les garçons.
- Pourtant, il m'a bien dit qu'on avait musique ensemble ce matin.
- Et qui plus est, je ne connais aucun Ismaël.
- À mon entré dans la salle, je pu constater qu'en effet, nous n'étions que des filles dans ce cour. La porte entrouverte l'assemblé se pencha curieusement pour regarder dans le couloir en entendant des voix masculine. Puis, Daniel se présenta à la porte. Toutes les filles commençèrent à s'agiter.
- Bonjour, mesdemoiselle !
Ce simple mot avait mit le chaos dans la salle.
- Bonjour Daniel. Dirent t'elles toutes en choeur.
- Alex ?
- Oui.
- Je t'attendrai ici quand tu auras fini ton cour.
- Ok.
Les regard jaloux se posèrent tous sur moi, jusqu'à l'arrivé du professeur.
- Bonjour. Nous avons une nouvelle élève, je vois. Levez vous mademoiselle Beauville et présentez vous.
- Bonjour. Je suis Beauville Alexandra, j'ai vingt ans et je viens de Pettinsburg.
Tous commencère à chuchoter après mon annonce. Qu'avait-il de si choquant dans ce que je venais de dire ?!
- Taisez-vous ! Tant qu'à moi je suis ton professeur de musique madame Florali. Aujourd'hui, chacun sais ce qu'il a à faire. Suis moi, je vais t'expliquer ce qu'il en ai de cette classe.
La professeur m'invita à entré dans son bureau, une vitre séparait cette pièce de la classe.
- Mademoiselle beauville. Vous faite donc parti du nouveau monde, si j'ai bien compris ?!
- Madame, puis-je vous poser une question ?
- Bien sûr !
- Depuis que je suis arrivé, je ne comprends rien de ce qui se passe ici. On me parle de la ville de Fabia, de nouveau monde ou encore de prince ! Nous sommes bien en nouvelle-Ecosse ?
- Et bien, il en va de sois que tu te poses des questions, et bien sûr tu auras des reponses. Ecoute, en vu du fait que tu ne connaisse pas nos habitudes ou ni même nos coutûmes, il faudra que tu apprennes vite. Habituellement, nous ne prenons personne qui vienne du nouveau monde, et je ne sais pourquoi tu fais exeption à la règle. Pour revenir à tes questions, nous sommes ici à Fabia. Ce qui n'à rien à voir avec la Nouvelle-Ecosse. Le roi de Fabia est Elliot Leopold Craig Kinnear. Le prince héritier fait aussi parti de cette école. Daniel Craig Kinnear. Notre royaume est comme adjacent au tien, et bien sur, personne ne connait son existance. Pour ce qui est du cour d'histoire, il faudra que tu attendes d'être en histoire pour comprendre. Dans mon cour, nous apprenons la musique, ses bienfaits, et biensur grace à ça tu pourras apprendre à parler et surtout ecouter les plantes.
La sonnerie retentit et bien-sûr, je n'étais pas plus avancer, bien au contraire ! Comme prevu, Daniel m'attendait à la porte.
- Qu'est ce que tu veux ?
- Tu n'as pas l'air d'être très enchanté de me voir. Quoi qu'il en soit, j'ai une mission.
- Et, qu'elle est cette mission, votre majesté ?
- Tu fais des progrès !
- Tu es si, agaçant !
Un sourir se dessina sur ses lèvres.
- Suis-moi.
Il me tira par le bras, pour se cacher dans un etroit couloir. Je pouvais sentir son souffle tellement il était prêt de moi.
- Qu'est ce qu'on fait là ?
Il posa son doigt sur mes lèvres, pour me faire taire.
Quand le bruit des couloirs s'estompa, il pu reprendre son souffle. Son doigt, toujours posé sur mes lèvres, il me fixait avec attention. Il s'approcha lentement, ses yeux se ferma,
- Qu'est ce que tu fais ?
Il rouvrit ses yeux.
- Excuse-moi. L'ambiance du moment m'a inspiré.
- Et bien, ne t'avise plus jamais d'être inspiré en ma présence. Tu es vraiment, agaçant !
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