Le cour d'histoire.

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- Toutes ces filles ! c'est tous les jours la même chose.

- Je ne comprends pas ce qu'elles te trouvent. Les pauvres, je les plains !

- Qu'est ce que tu veux dire ?

- Eh bien, il faudra bien qu'un jour, que tu te trouve une princesse. Tout leurs rêves serons alors brisé. Bref. Quelle est cette mission ?

- Tu ne mâche vraiment pas tes mots, toi. Alors voilà, le directeur m'a demandé de t'expliquer le fonctionnement des cours.

- Le professeur Florali m'a dejà un peu expliqué. Mais c'est assez,

- Trop compliquer pour toi ?

- Non ! C'est juste, improbable.

- Qu'est ce qui est improbable ?

- Que tout ça soit reel. Parler au plante ? Je crois qu'elle devrait voir un psy .

- Le professeur Florali parle aux plantes. C'est une langue assez courante, quand tu traverse Sombre-Bois.

- Daniel, Je suis dans cette école pour apprendre l'art. Pas pour m'endormir sur des histoires fantastique ! Ça fait deux jours que je suis ici, et tout semble de plus en plus fou.

- Alors, tu ne serais pas à ta place ?!

- Dans ce cas, non. Pourquoi je serai admise dans une école, où tout est anormal.

- Tu veux dire que tu n'as aucun talents ?

- Si, j'ai du talents ! Je dessine. Et c'est pour ça que je suis là, pour approfondir mon art.

- Si tu es ici à cause de tes dessins, c'est parce qu'ils doivent être exceptionnel. Ton talent, je veux dire, ton vrai talent, à un rapport avec les dessins que tu fais.

- Je devrais donc croire que tout cela est reel ?

- C'est reel ! Ecoutes, prends le temps necessaire pour accepter ce qui ce passe ici. Et si tu ne reussis pas à t'adapter, je demanderais une faveur à mon père.

- Quelle faveur ?

- Je lui dirais de te renvoyer chez toi. À toi de voir. Ton prochain cour est l'histoire. Le professeur s'appel monsieur Macleon. Avec lui tout va extremement vite.

La classe de monsieur Mcleon était la numero 123, et, rien à voir avec la salle de musique. La pièce était tellement lumineuse que ça faisait presque mal au yeux. Les tables face à lui, il commença son cour. Le titre était " Le reigne du roi Elliot "

- Après la mort du roi Craig Leo Kinnear Troisième du nom, son fils Elliot Leopold Craig Kinnear se vu prendre son nouveau rôle bien assez tôt. À dix-sept ans, il ne lui restait aucun membre de sa famille et il devait lui même construire la sienne au plus vite.

Quand le professeur commença à parler, je vit toute la salle de classe se transporter et se transformer, comme si les paroles du professeur prenaient vie. Le Chateau de Fabia était en haut d'une colline entouré de murailles. Et le temps semblait passer à une vitesse phénoménal.

Le roi Elliot a dix-sept-ans ne ressemblait pas du tout à Daniel, sauf peut-être la profondeur de leurs regard, qui donnait l'indice d'un air de famille. Au fil de l'histoire, le temps passait. Le jour du mariage du roi Elliot avec la princesse Matilda jocova Di Hillande se passait juste sous nos yeux ébaïs. Le sol marbré de la salle de bal brillait sous les feux des bougies posées dans de gigantesque lustres de cristal.

L'immense pièce bondé de personne vêtu de costume d'époque me faisais rêver. L'histoire à travers le temps. Il ne manquait plus que les odeurs pour que tout soit réel. Mais je pouvais les imaginer. J'étais fière, fière d'être ici à cet instant. Car, qui pouvait se vanter d'avoir quelque peu voyager dans le temps ?!

Notre voyage s'arrêta quand la sonnerie retentit, mais la magie du lieu, elle, elle était toujours là. À cet instant précis je savais que je ne voulais pas quitter cette école. Je m'étais tellement impregné de ce cour d'histoire que je voulais y retourner.

Je croisa Ismaël dans le couloir, contre le mur de la salle de musique.

- Je t'ai cherché ce matin.

- J'éttais là. C'est toi qui m'a snobé.

- Je n'ai pas pu te snober, car je ne t'ai pas vu. D'ailleur, tu ne pouvais pas avoir cour avec moi. Il parraît que les garçons et les filles sont rarement dans les même salle de classe.

- Je t'assure que j'étai bien en cour avec toi. Bon, si besoin je serais en salle de musique.

Je me souviens m'être dis qu'Ismaël était un garçon bien mysterieux, il semblait être heureux, mais ce n'était pas ce que je ressentais face à lui.

- Qu'est ce que tu fais ?

- Je discutais avec Ismaël.

- Où est il ?

- En salle de musique.

- J'aimerai bien le rencontrer, allons voir.

Elisa me tira jusqu'en salle trois, les dernières notes du piano que nous avons pu entendre était fausse, et en ouvrant la porte, quelle fût notre surprise en n'y trouvant personne.

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