Trahison

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Si dans ma tête affronter les sacrées était un acte héroïque, être convoqué dans le bureau du directeur en sachant ce qui allait nous attendre, me rendais un peu nerveuse. Je n'avais encore dit à personne de qui j'étais réelement. Et si je n'est pas le choix, déballer toute cette histoire était une des meilleurs solution.

Durant notre première heure de cour, nous avons tous été convoqué chez le directeur. En croisant le professeur Volteg dans le couloir, Elisa pu entrevoir un cours instant qu'il était determiné à nous éradiquer comme des rats. Sa pensée me donnait frois dans le dos.

Nous étions sept élèves avec un talent exeptionnel réunie dans la salle d'attente, et tout ça sous l'oeuil avisé de Gloria. Elle semblait scruter nos moindre geste, et nos chuchotements ne faisaient qu'attiser sa curiosité. Sous ses enorme lunette rouge, l'effet de ses verres lui donnaient de gros yeux qui nous fixaient severement. J'avoue, que le stresse m'envahissait et c'est le contacte de l'épaule de Kyle contre la mienne qui m'avais calmé. Un sourire de sa part et je fondais, litteralement.

La porte s'ouvrit soudainement, le directeur avait l'aire embarassé et inquiet. Mon coeur se mit à s'emballé à mesure que nous entrions un à un dans son bureau. La porte se referma derière nous et c'est le bruit de la clé dans la serrure qui me fit prendre conscience que nous étions à leurs merci.

Le professeur Volteg se leva, et nous scruta chacun notre tour, avec dedain.

- Ce comportement est inacceptable, professeur. Vous devriez vous rassoir afin que nous puissions expliquer à ces elèves le pourquoi de leur presence ici.

- Le professeur Florali a raison, veuillez vous rasseoir Volteg.

Le ton avait changé.

- cher élèves de première année. Vous avez dû vous rendre compte que cette année, est une année d'exeption.

- Venons-en au fait, monsieur le directeur.

- Professeur Volteg, je vous en pris. Chuchotta le professeur Florali.

- En vu des, nouveaux pouvoirs qui vous sont apparu cette année, comprenez que nous nous inquiétons des concéquences à venir.

- Allez-vous nous enfermer dans la salle des miroirs ? Dit Manon d'un ton inquiet. Visiblement ces mots lui avaient échappé.

- Je suis pour ! Lança le professeur Volteg.

- Comment pouvez-vous dire de tel chose monsieur ?

- Je vois que l'on se revolte, votre majesté. Voyez par vous même, ils n'ont plus aucun respect vis à vis de leurs professeurs. Et quand ils déciderons de ce lier contre cette école, ou, pire encore, contre le monde. Qu'adviendra t'il de nous ? Se débarasser de ces erreurs de la nature est la meilleur chose à faire.

- Se débarassé ? Mais que dites vous là ?

- Un sacrifice bien que bénéfique pour la planète. Je dit simplement la vérité.

- Professeur Volteg ! Reprenez votre place, et taisez-vous.

Si je comprends bien, vous voulez vous débarasser de nous afin de garder le contrôl ?

- Non. Afin de garder l'équilibre, mademoiselle ! Si je ne m'abuse dans votre réalité, vous êtes la futur reine d'égypte ? Cléopatre, n'est ce pas ?

- Oui, monsieur.

- Imaginez-vous gouverner une nation avec de tel pouvoir ?

- Mais le pouvoir n'est rien comparé à la dévotion que j'aurais pour mon peuple.

- Votre pouvoir ne fera qu'acroitre vos envies d'avoir d'avantage. Plus de guerre, ce qui engendrera un bouleverssement pour les autres mondes. Les époques seront différentes. Prenez le monde d'Alexandra. La moindre erreur ferrai qu'il n'existerait pas. C'est ce que vous voulez ?

- Je saurai faire ce qu'il faut, monsieur.

- Arrêtons les bavardages inutil. Veuillez entrer ! Cria la professeur Volteg.

Des hommes masqué fit irruption dans la pièce, une vision d'horreur, leur tunique noir les arrivaient jusque leurs pieds, chaque parcelle de leurs corps étaient recouvert. Qu'allaient-ils nous arriver ?

- Volteg ! Vous n'avez pas osé ?

- À votre avis ? Un sourire mesquin se dessina sur ses lèvres déséché.

Il rejoignit celui qui ressemblait au chef du groupe. La diférence ? Il avait une canne en or, sertie de pierre précieuse. Il dégaina cette dernière, qui cachait en fait un sabre. Il l'aligna en dessous du menton du professeur, qui se crispa.

- Jespère que le déplacement en vaut la peine.

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