La pièce secrète
- Allons donc messieurs ! Nous sommes en présences d'élèves ordinaire.
- Tait toi donc Nicolas. Et agenouille toi devant ton supérireur.
Ni une, ni deux le directeur était déja à genoux, suivie des autres professeurs.
- Maître, je vous pris de bien vouloir m'excuser.
- Des elèves ordinaire, certe, car ils ne font pas partie des sacrées. Cepandant, ils cachent un pouvoir immense. Dit-il en inspirant prêt de nous, se déléctant de notre parfum.
Je rêvais d'être ailleurs qu'ici à ce moment précis. Il me releva le menton, ce qui avait un tantinet agacé Kyle qui, si jayden n'était pas intervenu en le retenant l'avant bras, aurait envenimé la situation.
- C'est extraordinaire ! Mais qu'allons nous faire de vous, mes petites choses ?
- Nous ne sommes pas des choses !
- Alexandra Beauville. C'est un plaisir !
- Le plaisir n'est pas partagé. Si je ne m'abuse vous êtes donc à la tête de cette organisation ridicule ?!
- Detrompez-vous ma chère ! Cette organisation a révolutionné cette école. Si nous laissons des spécimen comme vous, avec de tel pouvoir, qui sais ce que vous seriez capable de faire. En ce qui concerne celui qui est à sa tête, il ne voyait pas l'utilité d'être là aujourd'hui. Mais, rassurez-vous, il sera ravie de faire votre connaissance après que je lui aurai raconté ce que je sais.
- Qu'en savez-vous ?
- Cléopatra ! Articula t-il. Je suis charmé. Dit-il à Elisa. J'ai égualement le talent de sentir les pouvoirs. Bien-sûr, cela n'a rien à voir avec celui du prince qui est bien plus évolué, cependant avec les années et la pratique, je sent quand un grand pouvoir est dissimulé. La décision de ce que nous allons faire de vous ne m'appartient pas. Pour le moment, enfermé-les. Et retiré les leur baguettes.
- Jamais ne nous vous les donnerons.
- Mon ami qui est juste ici, à lui le talent d'enlever la vie à n'importe qui, si je lui ordonne. Pensez à vos proches.
Chacun notre tour enleva nos baguettes de nos poignet. Il les enferma dans une petite boite en bois, qui par un sortilège fît scellé par une gravure doré.
L'un des hommes nous conduisit jusqu'une pièce du chateau que je n'avais jamais vu. Une sculpture de pierre représentant un bras avec un corbeau posé dessu, était le levier d'une porte secrète qui s'ouvrit soudainement devant nous.
Le long couloir étroit, était térrifiant et sombre. J'ai horreur des arraignées, et là, il y en avait des dixaines. Nous étions tous enchainé les uns aux autres comme des prisonniers. Kyle était le dernier du rang, il me souriait pour me rassurer.
L'homme à la capuche s'arrêta net, et penetra dans une pièce, après avoir poussé une pierre qui ouvrit une porte. Le bruit de l'allumette qui craque fît jaillir une odeur de souffre, et la pièce s'illumina sous nos yeux.
La porte se referma derrière nous. Les torches acrochés aux murs étaient notre seul éclairage. Il n'y avait aucune fenêtre et même la porte était dissimulé par les tapisseries rouge. Sept petit lits collé les uns aux autre au fond de la pièce et une salle d'eau, c'est tout ce en quoi nous avions droit.
- Je n'en reviens pas qu'ils nous ont menacé.
- Espérons qu'ils n'aillent pas plus loin.
- Qu'allons -nous faire ?
- Rien. Nous n'avons ni le talent ni les moyens de nous sortir d'ici.
- Si seulement j'avait le pouvoir de me transformer en clée.
L'idée me vînt soudainement.
- Si j'avais un miroir, je pourrais peut-être . . .
- C'est vrai ! Tu avais pu convoquer Abou la dernière fois. Tu pourrais peut-être recommencer. Quelqu'un doit bien avoir un miroir !
- Il n'y à aucun miroir ici. Tout est belle et bien perdu pour nous les amis.
- Ne sois pas aussi pessimiste Jay.
- Nous aurions dût prendre une decision l'autre soir !
- Quoi ? Nous enfuire ?
- Non, mademoiselle je sais tout. Mais à ce moment là nous avions encore nos baguettes et étions plus fort.
- Jayden et Elisa. Ça suffit ! cria Kyle. Ecoutez, nous allons nous en sortir. Reposons-nous un peu d'abort et nous verrons demain ce qu'il ce passe.
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