LE BAIN
Tout s’écroule en vapeurs, échos d’une échappée...
J’ai dansé dans la brise où le courant m’emporte.
Si c’est un angle mort alors je suis passé :
La vision m’amortit et j’ai fermé la porte.
J’ai dansé dans la brise où le courant m’emporte :
J’ai trouvé le soleil et l’eau fraîche où flotter...
La vision m’amortit et j’ai fermé la porte
Du nuage et du gris qui font les jours reniés.
J’ai trouvé le soleil et l’eau fraîche où flotter
Tout s’écroule en vapeurs, échos d’une échappée...
J’ai dansé dans la brise où le courant m’emporte.
Si c’est un angle mort alors je suis passé :
La vision m’amortit et j’ai fermé la porte.
J’ai dansé dans la brise où le courant m’emporte :
J’ai trouvé le soleil et l’eau fraîche où flotter...
La vision m’amortit et j’ai fermé la porte
Du nuage et du gris qui font les jours reniés.
J’ai trouvé le soleil et l’eau fraîche où flotter
Face au ciel, j’ai fondu un azur qui déporte
Du nuage et du gris qui font les jours reniés
Pour mieux les absorber dans un regard sans morte.
Face au ciel, j’ai fondu un azur qui déporte
Je suis la raie Manta qui aspire à voler
Dans cette eau où je nais en signant la mer morte :
Tout s’écroule en vapeurs, échos d’une échappée...
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