DU 15 AU 16,01,2022, L' ÂNON

Une minute de lecture

L'ânon courait, tout affolé, à travers le centre-ville. Je l'ai perdu de vue.

La nuit était arrivée, et je l'ai retrouvé, épuisé, recroquevillé dans un caniveau,. Je me suis approchée lentement en lui disant des choses rassurantes. Tout doucement, je l'ai relevé pour le faire marcher en le soutenant, tant il était faible.

Il fallait que je le mette à l'abri parce que des hommes voulaient l'abattre.

Je l'ai fait entrer dans une cathédrale, en me disant que dans ce lieu, on ne devait pas tuer.
Quand le prêtre nous a aperçus, il est venu bien vite pour nous aider. Il est allé chercher à manger pour nous deux.

Mais je ne voulais pas laisser mon petit âne sans défense à quelqu'un que je ne connaissais pas, alors je suis restée avec et je me suis endormie en le serrant dans mes bras. Son pelage était dense, touffu et très doux.


Réveil

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