Pour toi...
Ça à commencé, il y a longtemps déjà,
en Doré-mi-fa-sol, on n'avais pas besoin de Synthol....
Pour se terminer en ..ré...une pause ou la recré...
De mon plein gré, je suis venue, sans sourciller...
Comme un tournesol géant, j'ai fais la grande, Qui est la folle, dans ce bémol...
L'inspiration on ne la cherche pas, elle est là où elle s'en va...
De rimbaud à Victor Hugo, ou bien de Jonas à Calypso...on naît pas tous égaux...
Tout est dans le pot, c'est ça le quiproquo...
Un jour on est bien, un jour on est loin, pourtant, il y a pas de quoi en faire tout un plein...
Les voitures, j'y connais rien,
Puisque de toute façon, ici, c'est le Parisien...
C'est vrai, j'ai déconnée, à trop vouloir en faire, en dire, on s'y perds, quitte à se noyer...
Je vais pas te la faire l'envers...
Mon amour, mon bien aimé...
Pour toi, Je pourrai sortir tous les mots qui se trouve ici et là et même ceux qui ne sont pas dans le dico...
De justesse, il en fallu de peu..
Pour que tu disparaisses et finis les jeux de mots à tire Larigot...
Tu m'as tiré dessus avec ta mine parfumée de tous tes mots-clés, sur laquelle aujourd'hui on se mine, à pavoiser sur fil, sur la toile; de fil en aiguilles tout s'éparpille...
C.
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