La Colombe, le Jeune Homme et la Cage.
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Lourde corvée de l'existence,
Rendue légère par un rire.
Doux sourire annonçant fin de l'errance
Le début d'un printemps, de la vie, du désir.
Étoile qui de son éclat guide mes nuits
Dans de noirs profondeurs, je t'ai cherché sans cesse
Trébuchant jusque enfin sous mes doigts, mes caresses
Tu te trouves là, douce colombe chérie.
Objet de mon amour, chose tant adulée
Malgré mes cent efforts et mes mile présents
Ce n'était pas assez, l'oiseau s'est envolé.
La cage ouverte, le ciel est sombre, écrasant.
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