La vendeuse aux cheveux noirs
Une jeune femme aux cheveux noir ébènes
À la peau blanche comme les nuages au-dessus du jardin d’Éden,
Des lunettes, ça me plaît, un côté intellectuel
Toute ma haine dégringole vers les enfers, la vie est belle.
Je ne pouvais m’empêcher de poser mes yeux sur toi,
Je te regardais de la tête aux pieds, de haut en bas,
Heureusement pour moi, le timide que je suis
Tu ne le remarquas pas,
Cela m’évita d’avoir à m’humilier face à une déesse, la plus jolie
Des jeunes femme et vendeuse de ton magasin.
Crève-cœur d’être parti avec un simple sourire échangé,
Dont je ne pus empêcher mes yeux de tourner
Sur le côté droit de mon champ de vision.
Je me sens comme le plus stupide des bouffons,
Face à une femme qui en quelques minutes avait tout de la perfection.
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