Ambivalence saisonnière
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Douce fraîcheur d’un matin estival,
La rosée sur les fleurs sort son grand festival.
Brise de vent caresse ma joue dans un réveil matinal,
Me réveille de mon long somme, de mon lit, soulagé de mon mal.
Un petit frisson en été lorsque je me mets à écrire
Près de ma fenêtre, cette sensation agréable me provoque le sourire.
Ô temps d’été que je n’ai aucunement désiré,
Laisser place à un peu d’hiver, ne fait que me soulager,
Déprime estivale s’efface dans l’euphorie,
Ô mon amour, si tu savais, à quel point tu me ravis.
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