1/. La règle d'or : ne pas avoir de limites dans la poursuite du mal causé à l'enfant, ce serait trop facile. Mais surtout agir au niveau psychologique comme si votre enfant était votre pire ennemi. Et comme tout bon adversaire, être toujours présent dans la vie de l'enfant et se rapprocher par tous moyens que ce soit physiquement ou moralement afin de l'atteindre plus facilement et le détruire ensuite.

2/. Ne laisser aucun répit à l'enfant, et toujours garder le silence sur vos réelles intentions, tout au long de sa vie. Idem envers les autres qui pourront toujours vous servir, mais pas tous. Se montrer sans pitié aucune.

3/. Planifier la destruction progressive de sa vie le plus tôt possible, que ce soit seul ou avec l'aide du reste de la famille ou encore grâce à des alliances, des pactes avec d'autres personnes. Vous pouvez aussi vous arranger pour qu'il y ait de l'argent en jeu, car oui ce n'est qu'un petit jeu, où le moindre vice est récompensé. Pourquoi pas oser lancer des paris comme ça se fait aujourd'hui ? Le chantage envers ces gens pourrait aussi intervenir s'il s'avère que quelqu'un ait conscience de la victimisation subie. Et si l'enfant tombe dans le syndrome de Stockholm, c'est encore mieux

4/. Jouer sur la corde sensible : si jamais l'enfant pense à réclamer ses droits et à agir en conséquence, jouer de manipulation mentale en lui rappelant qu'il serait très triste de vous voir en prison, ou de voir votre conjoint(e) en prison. Si possible, s'arranger avec ce dernier pour qu'il devienne le parent "doux" d'entre vous deux mais néanmoins tout aussi dévastateur, afin de s'assurer de pouvoir se servir de lui comme du point sensible de l'enfant, un levier très puissant pour lui faire du chantage plus tard.

4/. Pensez à ce qu'il y a de plus facile en premier : les abus de pouvoir, puis l'intimidation et finir par le harcèlement. Même si ce dernier se fait par personnes interposées. Un cocktail explosif, faites péter la bombe !