1/. Pour cela, éviter que le négatif soit trop évident, mélanger le négatif de sa vie avec un semblant de bienveillance, avec des paroles douces pour semer le doute dans l'esprit de l'enfant, comme par exemple lui dire que tout cela est fait dans le but de le protéger, sans aller plus loin dans les explications. Il ne faut surtout pas que il ou elle comprenne quoi que ce soit, tout en faisant en sorte que l'enfant croit tout ce qu'on lui raconte comme étant des vérités immuables.

2/. Toujours mélanger récompenses et punitions, sans le dire clairement. Par exemple, en permettant à l'enfant selon notre bon vouloir quelques activités temporaires ou éphémères, agréables, mais toujours décevantes à la fin en y mettant un terme définitivement. Cela peut être une trotinette, des débuts dans une chorale organisée par l'école, mais toujours mettre l'enfant sous pression et le garder sous haute surveillance. Mais gardez en tête que le sociabiliser est un risque majeur. 

3/. Prendre garde à ne montrer qu'une face cachée envers l'extérieur, le bon parent qui se démène comme il peut pour élever son enfant, quelques soient les moyens utilisés, même le mensonge aujourd'hui. Cela contribuera à créer un faux semblant d'environnement sain autour de l'enfant qui comprendra que si les autres n'ont pas d'objection quant à l'éducation de l'enfant, tout lui semblera normal.

4/. Cette normalité devra faire partie de l'emprise mentale et psychologique, que l'on prendra soin de créer petit à petit par petites touches et des traumas, de l'enfant qui ne saura pas quoi dire devant le fait accompli.

5/. La confusion dans son esprit devra régner sur tout le reste, le but étant de créer de l'instabilité à tous égards dans le comportement de l'enfant. Cela contribue également à ce que l'enfant perde agréablement ses repères, qu'il n'a pas de toute façon.

6/. Toujours souffler le chaud et le froid, en provoquant l'inconstance par excellence. Voici les astuces : un jour ça va, un jour ça va pas du tout, promettre de faire quelque chose, ne pas le faire le lendemain délibérément, un coup je t'aime, un coup je te déteste, dites à l'enfant qu'il est merveilleux et bon à rien à la fois ; il faut comprendre cependant que ce ne sont que de petites touches qui ne feront que très peu d'effets, mais c'est un bon début.

7/. L'emprise mentale passe par l'isolement de l'enfant, et les interconnections entre lui et le monde extérieur ne seraient réalisables qu'avec son assentiment ; il ne doit pas comprendre qu'il y a une autre vie que la sienne parce qu'il n'en a pas le droit, évidemment.