1/. Faire preuve de patience, être bien organisé et ne jamais abandonner le combat qui se livre.

2/. Devenir des parents qui cachent leur enfant aux yeux du monde, mais il ne faut surtout pas que l'extérieur réalise ce qu'il se passe, par exemple, en cachant les bleus provoquer par les coups sur l'enfant ou en se mettant d'accord avec les professionnels de santé comme le médecin de famille pour ne rien révéler.

3/. Dans l'absolu, essayer d'entretenir si possible de bons rapports avec la justice et les autorités, même s'il s'agit de mentir ou d'omettre certains détails sur les méfaits que vous aurez réalisés ou pensés à réaliser sur l'enfant pour plus tard, pour vous protéger.

4/. S'il vous faut un avocat, choisissez en un du même bord politique que vous afin d'avoir plus de chances de réussir, car l'on s'entraide plus facilement entre gens qui vous comprennent. Mais ce n'est qu'un exemple. S'il faut aussi passer par l'extrémisme religieux pour donner une légitimité à cette réclusion.

5/. Ne jamais tomber dans la vulgarité, sinon tout le mal commis serait trop évident.

6/. Toujours tout ramener aux valeurs familiales même si votre propre famille est un champ de bataille.

7/. Vous avez très bien le droit de vous permettre tout et n'importe quoi puisque l'enfant est votre propriété, ne l'oubliez pas ! Car aux yeux de la justice vous êtes responsable de sa vie et de ses droits, tout du moins tant qu'il est mineur.

8/. Enfin, ne rien laisser au hasard.