Chapitre 090 : « à bord du « Kannn ». »
Chapitre 090 : « à bord du « Kannn ». »
Le sourire gourmand de Florian à la vue de cette chose magnifique au demeurant venant de s’exposée à son regard, ne laisse pas Samuel insensible et de loin s’en faut, la bandaison déjà bien réelle s’accentuent brusquement au point de venir se plaquer à l’abdomen du jeune homme.
Florian avance la main pour s’en emparer par le dessous, ressentant bien le long frémissement de plaisir que ce contact des plus intimes occasionne à son ami.
- Comment veux tu que nous ne pensions pas qu’au sexe, alors qu’à la moindre occasion l’un ou plusieurs d’entre nous ne cesse de nous y ramenés ?
- N’est-ce pas une bonne chose ?
- Je ne dis pas le contraire, jusque que parfois je me demande de quoi nous pourrions parler toute une journée si la chose en soi n’obnubilait pas nos pensées.
Samuel ferme les yeux de contentement alors que la main de son ami presse et masse tout en douceur son service trois pièce devenu hyper sensible.
- Hum… parlons de cela plus tard si tu le veux bien, en attendant que dirais-tu de nous mettre plus à l’aise et profités d’un petit moment intime, juste nous deux.
- Pourquoi? Tu crois que je tricote en ce moment ! Hi ! Hi !
- Si c’est ce que tu veux, alors laisse-moi sortir l’autre aiguille.
Samuel y va des deux mains pour acter ses dernières paroles et peine visiblement à sortir la « chose » en se contentant juste d’ouvrir la braguette, lui remettant alors à l’esprit combien elle est imposante.
Ce n’est qu’une fois chose faite qu’il s’en amuse volontiers, tout en fixant avec gourmandise ce qui assurément va très bientôt l’amener encore une fois vers des plaisirs toujours à ce jour inégalés.
- Contentons-nous d’un truc simple ! Hi ! Hi ! vue la différence de taille des aiguilles ! Hi ! Hi !
- Simple comment ?
Samuel pousse lentement son petit rouquin chéri vers le canapé non loin de là tout en faisant en sorte de faire tomber pantalon et slip, pour venir ensuite le chevaucher en guidant d’une main habile la hampe vers son fourreau.
Une petite pique de plaisir anticipé quand le contact se fait, vite suivit de la perte de souffle de l’intromission quand le membre en érection disparait entièrement et qu’il ressente enfin sur ses deux lobes fessiers le contact de la toison incendiaire de son amant.
Florian apprécie comme il se doit cette prise anale bien que rapidement menée, mais tellement forte en sensations, laissant alors son ami mener le bal, ou plutôt le rythme qui lui convient le mieux.
Samuel le comprend vite et apprécie à sa juste valeur que Florian se soucis de son propre plaisir, aussi commence-t-il par des mouvements de bassin lents, marqués par de nombreux arrêts ou ce ne sont plus que ses muscles internes qui massent l’épée ou plutôt le sabre entièrement entrer en lui.
Alors qu’il pensait rendre fou de stupre son amant à son petit jeu, c’est lui qui finalement s’y laisse prendre, ses mouvements devenant de plus en plus saccader et nerveux dans ses gestes jusqu’à ce que l’envie soit plus forte que sa volonté et qu’il accélère le rythme jusqu’à l’amener au double point de non-retour, celui tout en sensation de chaleur intense venant du massage de son point « G » suivit peu de temps après par l’orgasme qui le libère sur la poitrine de son homme, tandis que ce dernier s’arcboute à son tour en poussant un râle virile accentuant crescendo le plaisir de Samuel, plaisir d’avoir mener son petit rouquin au point de non-retour en parfaite harmonie avec le sien.
Samuel sert le cou de Florian dans ses bras en réclamant un câlin alors qu’ils sont toujours intimement imbriqués l’un dans l’autre, quand la porte s’ouvre et qu’un rire moqueur se fait entendre.
- Je pense que vous vous êtes trompés du tout au tout les gars en pensant qu’ils s’étaient enfermés pour tenir une stratégie contre les vaisseaux ruches ! Hi ! Hi !
Kim tourne la tête en arrière pour s’adresser à ses amis une fois avoir découvert ce qu’il en est réellement.
- Vous devriez venir voir les gars.
Samuel pèse de tout son poids pour contrecarrer l’intension qu’a Florian à se désunir de lui, son intention à lui devient vite claire pour ce dernier, devant les mouvements de bassin et la cambrure impudique, laissant apparaitre aux yeux des nouveaux arrivant une intromission toujours aussi virile.
Bien entendu cela n’échappe ni à Kim, ni aux trois blonds l’ayant rejoint.
- Est-ce une invite à les rejoindre ou juste à chercher à nous exciter ?
- L’une comme l’autre de toute façon finira par un même résultat, vous ne croyez pas ?
Celui qui prononce cette phrase en entrant de façon déterminée dans la pièce directement vers les deux antagonistes, n’est pas parmi les quatre celui qui d’habitude prend ce genre d’initiative, aussi c’est sous les regards étonnés de ses trois amis restés devant la porte, qu’Antonin fait tomber son short pour venir directement derrière Samuel qui ne voit pour sa part rien venir si ce n’est quelques secondes plus tard de se sentir encore plus rempli et pousser un gémissement mi sensuel, mi douloureux, suite à cette double intromission.
Pourtant il n’en apprécie pas moins la chose en positionnant ses deux mains par derrière et en amenant le blondinet encore plus profondément en lui, si la chose était possible.
Les minutes qui suivent verront la pièce s’emplir de borborygmes et cris de plaisirs divers, jusqu’à la libération des trois acteurs sous les regards enfiévrés des trois voyeurs qui ont assisté à la scène, la langue pendante et la « q...e » raide.
Comprenant qu’un troisième round ne se ferait pas dans l’immédiat, Kim s’arrange alors pour passer derrière les deux autres restant à porter en entrant une main à chacun dans le short, pour y venir sans préambules y titiller la rosette.
Comme il l’espérait, la réaction l’encourage à poursuivre et les voilà bientôt à devenir à leurs tours les acteurs d’une partie de sexe enfiévrée, sous le regard de ceux qui voient petit à petit leurs yeux se rallumés d’une flamme lubrique.
***/***
« Quelques heures plus tard. »
Ils sont de nouveaux réunis sans laisser paraitre le petit interlude coquin qu’ils viennent de vivre une fois de plus, redevenu sérieux cette fois sur des sujets d’actualités.
C’est Thomas qui pour le coup semble prendre les commandes sur le groupe, les millénaires à gouverner l’imperium lui ayant donner toute autorité sur les problèmes relevant essentiellement de politique.
- Ne devrions-nous pas recontacter les deux vaisseaux ruches les plus proches pour tenter de leurs faire entendre raison ?
- Ne faudrait-il pas plutôt montrer une nouvelle fois que notre force est de loin supérieur à la leurs ?
- Les tueries ont toujours amené à la vengeance des perdants, pensez-vous que ces deux vaisseaux seraient aussi agressifs envers nous si nous n’avions pas les premiers détruits entièrement l’un des leurs.
- Juste parce qu’ils voulaient nous tués, c’était de la légitime défense !
- Comment les autres peuvent-ils le savoir, puisque nous n’avons laisser personne de vivant pouvant faire un rapport dans ce sens ?
La polémique sur le sujet dure encore un petit moment, avant que Florian qui jusque là écoutait sans participer, prenne enfin la parole.
- J’entends et je comprends vos façons de penser sur ce sujet brulant, mais il faut se rappeler que même s’ils paraissent nombreux, ils ne sont en fait qu’une petite poignée à avoir ce que l’on nomme l'intelligence et le sens de la réflexion, les autres ne sont que des sortes de « machines organiques » à leurs services, des milliards d’êtres vivants sans âmes juste là pour servir l’être suprême.
- Comment expliques-tu toutes ces prières s’ils sont aussi dépourvus de libre arbitre comme tu l’entends ?
- La peur n’a jamais été une preuve de conscience, mais juste un moyen pour actionner l’instinct naturel de survie qu’a en lui tout être vivant.
- Dans ce cas pourquoi n’y a-t-il qu’à Xiao-Lu que cela profite ?
Parce qu’il est celui qui a été l’instigateur de cette galaxie, tout ce qui la concerne lui est rattaché. De plus je ne suis pas sur qu’il faille prier, mais seulement envoyer des ondes d’émotions vers ce que l’esprit des êtres vivants les rattachent à la vie. Certaines civilisations passent à travers des croyances et d’autres justement par des émotions différentes de la prière mais toutes aussi fortes.
- Pourtant quelque part ils ont le culte de « Cha-A », je ne l’ai pas inventé celui-là.
- Sans doute cela vient-il d'une époque révolue, quand l’espèce n’avait pas encore prit le tournant décisif vers l’esprit communautaire qui est devenue le leur.
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