Chapitre 158
« Je sais qu'Esteban va être comme lors de nos ébats précédents, toujours dans la tendresse. Mais voilà… Là...Moi ! Je veux plus... J'aimerais qu'il soit plussss sauvage... ! »
Mon homme s'occupe de ma fente en long, en large, en travers. Il la lèche …La déguste... Ça lui plaît… De m'entendre gémir, il continue… Il sait s’y prendre… J'ai chaud !... Je suis très excité…. Je sens le plaisir monter en moi, prêt à me foudroyer. Ses coups de langue me font frémir, mon clito est en fusion. J'arrive malgré tout à me caler sur le rythme de ses coups de langue. Je ne contrôle plus rien. Mon corps tout entier se met à bouger.
Je frotte mon minou sur la bouche de mon compagnon… J'adoreeeeeeeee… j'ai l'impression de me masturber sur ses lèvres… Ma respiration n’est plus la même, mes gémissements deviennent de plus en plus bruyants, mon corps devient incotrôlable !!
Mes gémissements et les mouvements de mes haches ont alerté mon chéri qui relève un peu sa tête et me regarde dans les yeux. Il me sourit et m’embrasse sur l’intérieur de ma cuisse. Ma tête part violament en arrière et retombe sur l’oreiller. Esteban pose le bout de ses doigts sur mes lèvres intimes trempées de cyprine et recommence à me masturber dans de léger va-et-viens. Ma réaction immédiatement :
Ohhhhhhh… OUiiiiiiii.... ENNNCOORRREEEEE...OOOOHHhhhhhhh.....OUIIIIIIIIIIIIIIII.....
Je ne pouvait pas rêver mieux… Mon chéri est là, sa tête entre mes jambes, dont je prends soins de bien écartées pour apprécier un cunnilingus des plus savoureux.
Je sens le bout de ses doigts qui me caresse sensuellement. Il tend son bras vers ma bouche. J'entrouvre mes lèvres et suce les doigts de mon amoureux. Je sens l'odeur de mon nectar et le goût de ma cyprine… Ma liqueur m’enivre.
Ses doigts vont et viennent délicatement entre mes lèvres. Je les suce et les lèche avidement, goulûment… comme si, je lui faisais une pipe. Et Dieu sait qu'Esteban sait combien j'aime lui faire des fellations. Il sait que j'aime lui donner se plaisir, c'est mon homme ! Il me regarde, me sourit et retire ses doigts de ma bouche.
Je suis au comble de l’excitation. J'ai définitivement perdu la tête. À ce moment-là ! Mon corps et mon âme m'appartiennent plus, seul mon chéri en est le maître absolu.
Je suis sans défense, vulnérable, difficile de résister au plaisir de me faire butiner, je ne me pose plus de question et le laisse faire. Je me sens si bien… j'aime sentir et voir ma cyprine tapisser la bouche et le visage de mon homme.
Je pousse un cri, puis un second. Et encore ...Un...Je me mets à trembler de tout mon corps et des spasmes me secouent, Esteban ne cesse pas pour auntant, il continue avec sa langue, et je me mets à convulser encore..... Et..... Encore... Tandis qu'un torrent de mon fluide se répand dans sa bouche.
- Ohhhhhhh…. OOOOUIIIIIIIIIIIIIII…. Mon coeurrrrrrrrrrr… je vais VENIRRRRRRRRRR…. JE JOUISSSS….ETEBANNNNNNnnnnnnnnnnnnn......
- OUIIIII... Ma chérrriee...jouissssssssssss.................
Mon corps enflamme notre chambre d'une énergie brûlante, mon orgasme à changer l'essence de notre espace.
Esteban, ne pouvant plus résister, se redresse et guide son membre durci vers l'entrée de ma grotte bien inondée, prêt à se perdre en moi. L'envie de se retrouver à l'unisson pour une nuit passionnée…
Mais, voilà ! Moi, je voulais sentir le membre de mon chéri me pénétrer profondément, mais en répondant à mes envies buccales les plus profondes. J'avais envie de le dévorer... De le sucer.... De le faire jouir...De le boire…
Je prends dans ma main le sexe de mon chéri, je le sens gros, dur, excité, ses veines sont gonflées au maximum, sa hampe fait des mouvements de balancement, sont gland est commen la tête d'un gros champignon . Je n'arrive pas à en faire le tour avec ma main. J'ai l'impression que je ne l'ai jamais vu aussi grosse ! Je suis certaine que c'est le résultat de l'histoire de Féline et du trio qu'il s'était imagé.
Je me recule, me détache de cette étreinte. Je tourne la tête vers Esteban et je lui dis :
- Elle est parfaite mon cœur, j'aime quand tu es comme ça !
- C'est clair que pour être dur, je le suis et je suis prêt à me laisser faire quoique tu me fasses !
- Quoique, je fasse ??? Tu n'as pas peur mon chéri ! Tu sais à quel point j'ai envie de te dévorer … à quel point, je peux être sauvage aussi !
- OUIIIIII.....Hoani dévore-moi….Soit sauvage !...
Je me mets à quatre pattes devant mon homme. Me déchaîne. Mon ardeur est presque sauvage. Mon envie, mes désirs se voient dans mes gestes. Hormis les regards que je lance à mon copain et les bruits de sucions que je fais à le sucer, je parle quasiment plus. C’est pareil pour mon chéri. Les bruits qu'il expriment par le plaisir qu’il prend et qu’il a à se faire suçoter la tige.
Esteban, grogne de satisfaction, il aime ma bouche et le plaisir qu'elle lui donne. Ça lui plaît, ma fellation lui plaît… Je connais mon homme et je sais ce qu'il attend de moi pas besoin qu'il me fasse un dessin.
Je me décide d'y aller de plus belle, sa verge est bien entre mes lèvres. Je la suce… La pompe… La titille…Avec mes dents...Elle s'enfonce dans les trèfond de ma gorge.
Ma main droite posée à la base de son trois pièces, mes lèvres descendent et remontent… Je me satisfais enfin de mon envie. J'aime tellement ça… M'occuper de lui. J'aime sentir son sexe cogner au fond de ma gorge, caresser mes parois buccales, sentir ma langue goûter son gland… Sentir son pré-liquide séminal chemiser ma langue. Me délecter de son goût… Quel bonheur de pouvoir m'enivrer de ce plaisir.
La tête de mon homme repose confortablement sur l’oreiller, les bras écartés et ses mains sous son tête . Je vois qu'il apprécie mes douces caresses que lui livrent mes lèvres. Il se laisse aller à un plaisir factuel.
Il grogne de satisfaction tout en me regardant. Il me dit même quelques mots crus ! Ce n'est pourtant pas son genre, mais j'aime quand il se laisse aller sans retenu. Et même certains mots crus, lorsqu'ils sont dits avec respect, deviennent jolis.
L'entendre me dire
« Qu'il aime baiser ma bouche » m'excite encore plus et m'encourage à le prendre encore plus en bouche et de lui faire découvrir les joies de ma gorge.
Tout en le prenant dans ma bouche, je le regarde. Cela me rend très heureuse de le voir ainsi. Je lui montre ma satidfaction à travers mon regard.
« Je vois les yeux particulièrement pétillants de ma femme. Elle est… radieuse. Épanouie. Le plaisir lui va bien... »
- Je veux que ce moment hors du temps continu » me dit-il.
- Ça tombe bien. Moi aussi…lui répondi en retour.
J'enroule mes doigts sur la base de son membre en érection, mes lèvres vont et viennent le long de sa hampe. Je me rassasie de l'avoir en bouche. Mes ongles vont à la rencontre de ses bourses et je les gratifie de caresses en les malaxant dans mes mains, comme si je faisais de la rééducation avec mes doigts, sauf que cette rééducation est plus bien plus agréable que des petites balles en mousse.
Mon homme ne reste pas sans réactions sa bite se manifeste par des soubresauts, cela l'émoustille … Et lui faire perdre définitivement la tête, non seulement, je n'arrête pas de le regarder, mais exemplifie volontairement les bruits de sucions lorsque son pieu vient couliser le long de mes amygdales, me forçant à laisser échapper la salive de ma bouche qui s'écoule le long de sa hampe.
« Ptain que c'est bon de se faire sucer de cette manière, j'aime quand m'a chérie me dévore ainsi, lorsqu'elle laisse son côté sauvage prendre le dessus, c'est hyper excitant. Moi qui étais déjà dans un état d'excitation extrême là… Cela devient insoutenable. C'est bruit explicite qu'elle fait exprès d'exagérer me rend fou ! »
- Putain que c'est bon ma chérie !!! Continue. Tu sais que j'aime quand tu me suces comme ça !
Il me maintient la tête à deux mains et m’enfonce sa tige au fond de ma bouche dans des va-et-viens de plus en plus rytmés. Je sens son désir de jouir au plus proche, ce qui me fait accélérer mes mouvements.
Oui… C'est ce que je pensais… Il ne résistera pas à mon traitement. Il y est tout sauf insensible. Il grogne, il gémit. Sa tête retombe sur l'oreiller, il jure. Il prononce mon prénom, il pose ses yeux sur moi… Son regard… ? Comment vous le décrire ? Son regard ne me lâchent plus. C'est comme si… Ils me disaient quelque chose et que je devais le lire sur ses lèvres. Je… Crois avoir deviné… Et là, je vois son doigt se tendre vers moi. En direction de mon visage.
« Oh ? Il veut… ? »
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