Chapitre 160

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Mon chéri se penche à mon oreille droite et me murmure quelque chose que je ne comprends pas.

« Tu dis quoi, mon cœur ? » Esteban me répond, cette fois plus clairement.

« J’ai envie de te prendre par ton petit trou ! »

« Hooooo..... Ouiiiii.... Mon chéri... Viens dans mon petit cul !!! Ça fait tellement longtemps que je ne t'ai pas senti dans l'étroitesse de mon petit derrière. »

Rien que de lui dire cela, je me sens comme un volcan en furie ! Je ne pense plus qu'à son mât qui va me transpercer.

« Tu vas me faire jouir par-derrière, mon cœur ! »

« Oh, ne t’inquiète pas ma chérie, je peux t’assurer que tu vas en redemander ! »

Je rigole tout en l’embrassant.

« Laisse-moi faire, je vais te guider. » Esteban me fait m’agenouiller sur le lit.

Une fois à genoux, je cambre mon postérieur pour qu’il puisse avoir une belle vue du paysage.

« Fais-moi voir ça », dit-il de nouveau.

Je pose ma main sur mes fesses et remue mon popotin comme pour l'inviter à entrer… Esteban entreprend de me stimuler pour me préparer à sa future percée dans mes tréfonds. Il commence par caresser ma vulve et mon clitoris par en dessous, réveillant encore davantage le désir sauvage niché en moi.

Mais il ne peut pas s’empêcher de revenir poser ses deux mains fermement sur mes seins. Il les caresse. C’est tellement… bon, tout ce qu’il me fait. Moi aussi, j'aimerais de nouveau m’occuper de lui, lui redonner une certaine raideur ! Mais je sais bien que mon chéri ne va pas s'arrêter maintenant ! Il kiffe trop ma poitrine !

« Ohhhh.... Ouiiiii.... Esteban... Encore... J'adore quand tu t'occupes de mes seins ! Lèche-les. Mords-les. Pince mes tétons. »

Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii......Hummmmmmmmmm...OUIIIIIIIIIII.....Continu....

Esteban ne me quitte plus des yeux. Il veut voir mes réactions lorsque je vais jouir... Il ne me laisse pas le temps de me remettre de mes émotions. À ce moment-là, c’est comme si le temps s’était arrêté. Mon corps est couvert de sueur. Mon amant est allongé à plat ventre et me lèche tendrement mon clitoris en se rassasiant de mon doux nectar qui s'échappe de moi pour conquérir sa gorge.

Encoreeeeeeeeee..... Mon amourrrrrrr........... C'est trop bon ce que tu me fais… Quel cunnilingus !!!! Tu sait exactement ce qu'il faut faire et tu le fais particulièrement bien...Ouiiiiiii...

Ouiiiiiiiiiiiii........... Waouhhhhhhhhhhh...... Ahhhhh......... Je ressens au plus profond de moi une décharge électrique, je ne peux plus me retenir, je suis saisie par un puissant orgasme… En plus d’être mon homme, il est un lécheur trop doué.

Mais Hoani, n’a pas l’intention d’en rester là. Non… Elle n’est pas rassasiée. Elle a toujours autant envie de lui. Elle le veut désormais en elle…

Mais j'ai bien compris que mon homme veut rester le maître de la situation.

Et là, pour moi... C’est trop tard, ses mains reviennent se poser sur mes seins. Ma poitrine étant d'une extrême sensibilité, me fait décoller rapidement. Il les soupèse, les redécouvre, les palpe, les malaxe tout en me pinçant et en roulant mes tétons entre ses doigts.

C’est tellement excitant comme approche… Ses mains tiennent mes deux globes recouverts d’une fine pellicule de transpiration due à nos ébats précédents. Il les presse l’un contre l’autre en les massant. Je commence à soupirer. Je me lâche, parce qu’il est tellement doué pour s'occuper de moi.

Ptain, que j'aime ça, quand il me caresse, c'est impossible pour moi de pouvoir me libérer de ses mains. On dirait qu'il a des dizaines de mains qui parcourent mon corps, car c'est bien cela que je ressens : une vague de sensations m'enveloppant, comme si chaque parcelle de ma peau était simultanément effleurée par toutes ses mains qui jouent avec mon corps. Me créant un mélange de frissons, de chaleur et de bien-être. Mon corps tout entier se tend sous ses caresses, éveillant en moi un profond sentiment de plaisir et de connexion avec mon chéri.

Je pose mes mains sur les siennes pour accompagner son massage mammaire et, alors que je me mets moi-même à malaxer ma petite poitrine, il retire ses mains de sous les miennes pour venir pincer mes tétons.

Hum... Ouiiiii.... Encoreeee...Humm...mmm

Quel délice… Ses doigts agiles les font rouler tout doucement, puis les caresse juste du bout de la phalange et les tapote pour les faire durcir. Je sens mon mont Vénus qui se remet instantanément à suinter de mouille et mon clito se réchauffe. C’est trop tard pour reculer. De toute façon, je n'ai aucune envie de reculer sauf pour le...

Je m’agenouille pour me retrouver une seconde fois au niveau de sa queue. Je veux qu'elle redevienne celle que j'aime et la forme qu'elle prend me laisse présager de bons moments.

Miam... Miam... Miam... Me dis-je.

Elle est bien droite et ne demande qu’à revenir dans les profondeurs de ma bouche. Je lui lèche le dessous de ses couilles pendant qu’il se branle au-dessus de mon visage. Je le suce quelques instants pour bien humidifier la bête.

Puis, comme Esteban manifeste un intérêt particulier envers mes seins, je veux être encore plus généreuse de ma personne et lui en faire profiter encore plus. Je place son membre entre mes deux petites mandarines et ainsi, il peut se branler entre mes deux dunes que je presse pour bien stimuler sa bite. J’adore la voir, frémissante et aux veines saillantes gonflées par le désir, s’agiter contre ma poitrine qui l’accueille avec ravissement. Ma langue venant laper son gland a chacune de ses remonter.

De mon autre main, je me caresse les tétons pour me faire mouiller plus abondamment. Je sens une de ses mains qui caresse mon abricot et il me doigte avec deux doigts bien plantés en moi. Il les fait venir dans mon minou, les faisant coulisser délicatement. Ils en ressortent trempés. Je le regarde par-derrière pendant qu’il s’occupe de moi. Je le vois qui se branle en matant mon fessier. Il goûte ma mouille en fourrant ses deux doigts dans sa bouche avide. Une vision follement excitante. Esteban m’a trop tentée, je ne peux plus m’arrêter.

J’ai un besoin physique qu’il me saute.

Avec ses doigts bien lubrifiés, il s’attaque à ma petite étoile. Il y enfonce doucement un doigt. Il s’y prend avec une infinie douceur et en même temps, avec suffisamment de fermeté pour me pénétrer avec assurance.

Je sens les sensations si particulières à ce plaisir me saisir de leur intrusion délicieuse et puissante. Je sens mon anus s’écarter, céder de plus en plus sous ses caresses à mesure qu’il me détend le petit trou… Ce ressenti très profond, si intime et si fort, avec un frottement au plus près de la peau, une forme d’intimité encore plus violente que la pénétration classique.

Il se met à me baiser avec son doigt jusqu’à me faire gémir. Je sens un liquide chaud qui vient adoucir ma petite étoile. Je comprends qu'Esteban dépose de la salive sur ma rosette. Ses doigts, faisant des allers-retours dans ma chatte, libèrent ma cyprine qu'il récupère pour m’en badigeonner… J’ai tellement envie de sa queue que je l’aurais supplié tellement, il m’a bien préparée à cette pratique.

« Prête ?»

Je gémis que « ouiiiiiiiii. »

Je sens sa queue à l’entrée de mes fesses. Il se masturbe doucement au contact de mon petit trou qui s'ouvre devant lui et petit à petit, il commence à me pénétrer avec son gros pieu. La violence du plaisir me saisit.

« Waouuuuuuuuu, elle est super grosseeeeeeeee..........

Je suis à quatre pattes sur le lit, le visage tourné vers lui dans une expression de réjouissance totale. Je sais que je le fais bander à mort. Sa queue dans mon petit trou est telle un volcan, les sensations de le sentir à l'étroit font monter mon désir d'un cran. La grosseur de son membre à cet endroit bien plus resserré et aussi plus intense me fait presque voir les étoiles.

« Ça va, comme ça ? » Me dit mon chéri.

« Ouiiiiiiiiiii J’adoooore » Laissant échapper de ma gorge des râles en me faisant prendre ainsi.

« Je vois que tu aimes vraiment ça !»

« Tais-toi et baise-moi ! » Lui dis-je.

Il me prend au mot et se met à me pilonner l’arrière-train comme un forçat. Son membre bien lubrifié entre et sort de moi avec agilité et me donne un vrai sentimentd'euphorie tant c’est bon. Je crie tellement j'apprécie que mon copain me sodomise. Il me possède par le cul, il me saute si bien, créant littéralement une éruption de plaisir dans mon fondement, qui s’ouvre encore plus grand pour le laisser passer.

Je suis dans une autre galaxie, tellement je baigne dans la félicité. Ses mains pétrissent mes deux globes pendant qu’il me baise, et ajoutent à la sensation de sa pénétration. Mon fessier est une boule d’extase.

Je change de position pour avoir d'autres sensations. Je m’installe sur le dos. C’est vraiment trop bon ce que l'on fait, mais en même temps, il est impossible de ne pas se laisser aller à un pareil kif. Je ne peux même pas m'imaginer qu’on puisse ne pas avoir envie de baiser comme ça tous les jours de l’année…

Il me prend à nouveau par-derrière alors que je suis sur le dos. C’est vraiment cette partie-là de mon corps qui l’obsède et il m'avoue avoir rêvé de me faire ça depuis un moment déjà. Cela lui manquait et il sait que quand je suis dans cet état là, il peut tout me demander.

Alors qu’il continue de faire des vas-et viens dans mon petit cul, l'envie de caresser mon sexe, qui se languit de n’être pas sollicité, devient irrésistible. Je monte mes jambes en l’air pour qu’il puisse aller au plus profond de moi et ainsi, je me mets à me caresser le clito avec un élan incroyable.

« Quel pied.... Mais que c'est bon de se faire baiser aussi ! »

C’est vraiment le pied, je me donne du plaisir comme j’aime, et en même temps mon croupion s’embrase sous les coups de mon chéri qui m’emmènent dans des niveaux de jouissance rarement atteints. Son côté sauvage doit y être pour quelque chose aussi !

Je me branle au même rythme qu’Esteban me saute. Ma chatte mouille de plus belle, implorant qu’on s’occupe d’elle. Alors, je m’enfonce un, puis deux doigts dans la fente. Je délire presque tant les sensations sont envahissantes.

Ma minette reçoit mes doigts et je me stimule comme je sais le faire. Je sens sa queue contre la fine paroi qui sépare mes doigts de son sexe... J’adore me donner du plaisir devant mon homme et là, c’est encore mieux, car je le fais pendant qu’il me sodomise. Je bascule les jambes sur le côté pour qu’il me prenne encore dans un nouvel axe. Debout contre le lit, Esteban continue de faire aller sa queue dans mon petit trou tout en passant ses mains dans mes cheveux et sur mon visage, en me disant à quel point je le fais bander !

Je sais qu'il a envie de me posséder et je vais le laisser faire, moi aussi, j'ai envie qu'il me comble de partout.

Il retire son sexe pour venir près de mon visage et se masturbe devant moi. Hum ! J’adore qu’il soit dominant comme ça avec moi et qu’il se laisse aller à ses pulsions les plus bestiales. Je suis moi-même très heureuse d’en être la destinataire et de pouvoir me faire sauter par un pareil étalon.

Je suis captivée par la vue de mon chéri se donnant du plaisir, chacun de ses mouvements éveille en moi une vague de désir et d'excitation. Cette caresse intime, pleine de vulnérabilité et de passion, me remplit d'une chaleur intense, renforçant mon propre plaisir.

Je le fais s'allonger sur le dos et je m’allonge à mon tour sur son corps, mon dos contre son torse. Je prends sa hampe dans ma main et la dirige à l'endroit d’où il vient pour qu’il me pénètre. J'aime découvrir les voluptés de la sodomie et je ne peux plus m’en passer.

Avec une jambe de chaque côté de mon chéri, je m’appuie sur le matelas pour aller et venir sur sa tige bien raide qui fend mes fesses avec une énergie remarquable. Je gémis encore...

« Oui... ouiiiiiiiiiiiiii.... Défonce-moiiiiiiiiiiiii.... Vas-y mon chériiiiiiiii... Enfonce-la... »

Dans cette position, je continue à me caresser de plus belle pendant qu’il me transperce. Sa percée est voluptueuse et subtilement douloureuse. Sa pénétration se conjugue à l'énergie avec laquelle je me caresse le clito et le plaisir est vraiment en train de me terrasser… Nos souffles et ses allées et venues s’intensifient. Je sens l’orgasme monter en moi, prêt à éclater.

Esteban s’enhardit et il me retourne de toute sa force sur le lit pour me prendre une dernière fois en levrette avec vigueur. J’ai le cul pointé en l’air vers lui, les épaules et le visage contre le lit, à me prendre encore ses derniers coups de queue pendant qu’entre mes cuisses, ma main s’agite, comme prise de démence, sur mon clito déjà enflammé de désir.

Lui, debout derrière moi, est concentré sur le fait de vouloir me faire exploser de jouissance. Je ne réponds plus de moi-même, je suis dans une position totalement abandonnée avec sa grosse queue qui me pilonne.

Je sens l’orgasme pointer puis éclater dans mon sexe, un flot de cyprine sort de moi.

Ahhhhhhhhhhh......Jejouissssssssssssss....Ouiiiiiiiiiiiiii....hannnnn....Hummmm.......Estebannnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn........................

Je crie mon euphorie et je laisse les sensations orgasmiques me transporter. Enfin, Esteban sort son sexe pour éjaculer sur ma rosette. Il veut voir le liquide se répandre sur mon derrière comme signe final de sa possession.

Nous restons ainsi un petit moment à nous embrasser... avant d'aller prendre une douche bien méritée.

Nous nous retrouvons au lit. Je suis épuisée. Mon chéri m'a vidée, je n'ai qu'une envie, c'est de dormir. Je regarde mon homme, l'embrasse langoureusement en lui disant que je l'aime et en lui souhaitant une bonne nuit. Mon chéri me répond la même chose en précisant qu'il faudra que je lui parle de cette serveuse ! Je suis trop fatiguée pour répondre et m'endors.

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