Chapitre 161
Allongée sur le bord de la piscine, je me laisse envelopper par la chaleur du soleil. Les rayons caressent ma peau nue, glissant le long de mes courbes comme des mains invisibles. Je sens la chaleur s’intensifier sur mes fesses, puis remonter lentement le long de mon dos, une chaleur qui pénètre chaque centimètre de mon corps, réveillant en moi un désir enfoui. Le soleil, tel un amant secret, me caresse avec douceur, ses rayons se posent avec une tendresse sensuelle sur ma peau.
Les yeux fermés, je me remémore la soirée passée avec mon chéri. Nos ébats ont été intenses, sauvages, animés d'une passion dévorante qui a brûlé nos corps tout entiers. Je me souviens de chaque baiser, de chaque caresse, et de la manière dont je me suis laissé aller, plus libre et audacieuse que je ne l'avais jamais été. C'est comme si une nouvelle énergie m'avait envahie, me poussant à explorer des facettes de moi-même que j'ignorais. Je me suis laissée emporter par une vague de désir brut, perdant toute inhibition. Je n'avais plus de contrôle, plus de limite. Un sourire se dessine sur mes lèvres en y repensant, sentant encore sur ma peau les traces de ses mains, de ses lèvres, de son souffle brûlant contre ma nuque.
Chaque rayon de soleil son des caresses douces et insistantes. Je sens sa chaleur pénétrer mes muscles, relaxant mon corps tout en éveillant quelque chose de plus profond. Je tourne légèrement la tête, ferme les yeux pour mieux savourer ce moment. La chaleur du soleil sur mes fesses me fait frissonner, une douce brûlure que, je sens descendre lentement le long de mes jambes avant de remonter le long de ma colonne vertébrale. Ma peau commence à fourmiller sous cette caresse brûlante, et mes pensées dérivent vers Héléna.
Je pense à elle, à la façon dont ses yeux pétillaient de désir quand, je lui ait proposé ce trio, à la douceur de sa voix lorsqu'elle prononçait mon nom. Ce souvenir, mêlé à la chaleur du soleil, réveille un désir encore plus profond en moi. Les rayons du soleil glissent maintenant sur mon ventre, caressant mes seins, les réchauffant, éveillant mes tétons qui durcissent sous cette douce chaleur. Je laisse échapper un soupir de plaisir, mon corps réagissant instinctivement à cette combinaison de chaleur solaire et de désir imaginaire.
Hummmm...mmm... mmmmm....HOoooo...Ouiiii
Mes mains commencent à explorer mon propre corps, mes doigts effleurent la peau tendre de mes seins. Je les caresse doucement, sentant la chaleur du soleil se mêler à celle de mes mains, créant une sensation délicieuse qui me fait frémir. Mes paumes glissent sur mes seins, les pressent légèrement, puis plus fermement, mes doigts pinçent tendrement mes tétons. J’imagine les mains d'Héléna à la place des miennes, des mains plus douces, plus expertes, caressant chaque contour, chaque courbe de mon corps avec une attention toute particulière.
Le soleil continue de chauffer ma peau, chaque rayon intensifiant le désir qui monte en moi. Je sens mon souffle devenir plus profond, plus irrégulier, alors que mes doigts roulent et pincent mes tétons de manière plus insistante. La chaleur du soleil devient presque insupportable, une douce brûlure qui attise le feu de mon désir. Je laisse mes mains descendre lentement le long de mon ventre, caressant la peau sensible sous la chaleur solaire, chaque mouvement amplifiant les sensations.
Mes doigts glissent vers le bas, atteignant enfin mon intimité. Je me caresse progressivement, d’abord avec délicatesse, puis de plus en plus fermement. J’imagine que ce sont les doigts d'Héléna qui parcourent mon corps, qui découvrent mon intimité avec une curiosité brûlante, cherchant à connaître chaque secret de mon plaisir. Je m’imagine la chaleur d'Héléna contre moi, le goût de ses lèvres, la douceur de sa peau et mon désir ne fait que croître.
Le soleil semble maintenant se concentrer sur mon ventre et entre mes cuisses, comme pour intensifier mon désir. Mes doigts dansent autour de mon clitoris, l’effleurant doucement, puis avec plus de pression. Le soleil continue de chauffer mon corps, ses rayons pénétrant plus profondément, éveillant des sensations plus intenses. Je sens mon corps réagir à chaque caresse, chaque rayon de soleil qui descend sur ma peau comme une onde de plaisir.
Mon désir atteint un point culminant, chaque fibre de mon être tendue vers cette libération imminente. Je me caresse plus vite, mes doigts explorant mon clitoris avec une intensité croissante, alors que mon esprit s’emballe, imaginant le corps d'Héléna tout contre le mien, nos souffles mêlés, nos corps entrelacés. Je me perds dans cette danse de sensations, dans la chaleur du soleil et dans mon imagination, chaque seconde m’approchant un peu plus de cet orgasme tant attendu.
Enfin, je sens cette vague déferlante m'envahir, une explosion de plaisir qui me fait trembler. Je gémis doucement, mon corps vibrant sous l’effet de cette libération intense, chaque muscle tendu puis relâché sous la caresse invisible du soleil et de mes fantasmes. Je reste là, haletante, savourant les dernières vagues de plaisir qui parcourent encore mon corps. Le soleil continue de me caresser tendrement, complice silencieux de ce moment de pur abandon. Un sourire de satisfaction se dessine sur mes lèvres, alors que je me laisse bercer par la douce chaleur du soleil, flottant encore dans la béatitude de cette extase parfaite.
Le soleil se couche sur les toits de la ville, enveloppant les rues d'une lueur dorée. Je marche nerveusement vers le café où Héléna travaille, mes pensées tourbillonnent comme un tornade de feuilles automnales. Je sais que ce que je m'apprête à faire est audacieux, risqué même, mais l'idée d'un trio avec Héléna et Esteban éveille en moi un désir que je ne peux plus ignorer.
Le café est presque vide à cette heure de la journée. Héléna, la serveuse aux longs cheveux bruns et aux yeux pétillants, essuie les tables avec une grâce nonchalante. Lorsqu'elle m'aperçoit entrer, un sourire chaleureux éclaire son visage.
« Salut Hoani ! Tu viens souvent ici ces derniers temps, » dit-elle en s'approchant.
« Salut Héléna, » lui répondant en essayant de cacher mon malaise. « Oui, j'aime bien l'ambiance de ce café. Et puis, il y a toi, toujours souriante. »
Elle rit doucement, un son mélodieux qui apaise quelque peu mes nerfs. « Alors, que puis-je te servir aujourd'hui ? »
« En fait, » dis-je en m'asseyant à une table près de la fenêtre, « j'aimerais te parler de quelque chose d'un peu… particulier. »
Héléna fronce légèrement les sourcils, intriguée, mais s'assied en face de moi.
« Je t'écoute. »
Je prends une profonde inspiration. « Je ne vais pas tourner autour du pot. Esteban et moi… Nous sommes en couple, comme tu le sais peut-être. Et nous avons beaucoup parlé récemment. Nous avons pensé à toi. »
Les joues d'Héléna prennent une teinte rosée, mais elle ne détourne pas les yeux. « À moi ? »
« Oui, » continué-je, me sentant légèrement plus à l'aise. « Nous t'apprécions tous les deux énormément, et… nous nous demandions si tu serais intéressée par l'idée de… de partager quelque chose de plus intime avec nous. »
Héléna reste silencieuse pendant un moment, son regard scrutant mes traits. « Tu veux dire… Comme un trio ? »
Je hoche la tête, mon cœur battant la chamade. « Oui, c'est exactement ça. Je sais que c'est une proposition inhabituelle, et je comprends parfaitement si tu n'es pas à l'aise avec ça. Mais nous avons pensé que ça pourrait être une expérience magnifique, pour nous trois. »
Les yeux d'Héléna brillent d'une lueur indéfinissable. « C'est vrai que c'est une proposition inattendue, » dit-elle lentement. « Mais je dois admettre que… vous m'attirez tous les deux. » Je n'avais jamais vraiment envisagé cette possibilité, mais l'idée est… intrigante !
Je sens une vague de soulagement me submerger. « Donc, tu n'es pas contre ? »
Héléna secoue la tête, un sourire énigmatique sur les lèvres. « Non, je ne suis pas contre. En fait, ça fait un moment que je pense à toi… Depuis que je t'ai vue avec ta copine Françoise dans les toilettes des femmes. »
Mes yeux s'agrandissent de surprise. « Tu veux dire… Tu nous as vues ? »
« Oui, » répond Héléna en se mordillant la lèvre inférieure. « Je vous ai vues vous caresser mutuellement et vous offrir des baisers langoureux. J'ai souvent rêvé d'être à la place de Françoise… De te faire un cunnilingus. De sentir tes gémissements sous mes caresses. »
Je rougis, mon corps réagissant instantanément à la confession d'Héléna. Je me surprends à...Imaginer mes doigts caressant la peau douce d'Héléna, mes lèvres explorant chaque centimètre de son corps. Je me vois caresser sa peau, lécher son sexe, goûter à son intimité. Cette vision fait monter en moi une chaleur intense, mes pensées devenant de plus en plus explicites et impossibles à ignorer. Je visualise mes doigts glisser à l'intérieur d'Héléna, sentir ses contractions sous mes caresses, entendre ses gémissements de plaisir. Des papillons se mettent à danser dans mon bas-ventre, une chaleur agréable envahi mon corps me faisant frémir.
Je sens mon minou s'humidifier, Il va falloir que je me résiste avant qu'elle ne remarque quelque chose !
« Je... je... Je ne savais pas que tu nous avais vues !!!. »
'' Lorsque Héléna m’a avoué tout cela, une bouffée de chaleur envahit soudainement. Mon corps réagit avant même que mon esprit ne puisse saisir pleinement le sens de ses mots. Mes yeux s’agrandissent de surprise, mon cœur bat plus fort dans ma poitrine. L’idée qu’elle nous ait vues, qu’elle m’ait vue ainsi, aussi vulnérable, aussi exposée, me fait rougir. Une vague de chaleur se répand dans mon ventre, se diffuse lentement à travers mes membres, comme un frisson de désir inattendu.
Je sens une sorte d’excitation troublante se mêler à mon étonnement. Chaque mot qu’elle prononce résonne en moi avec une intensité brûlante. Elle a rêvé de moi, de me caresser, de m’entendre gémir sous ses doigts et sa bouche. Ces aveux, aussi directs qu’inattendus, éveillent en moi une curiosité mêlée d’une nervosité palpitante. Mon esprit est soudainement envahi d’images qui attisent une chaleur encore plus profonde en moi. L’idée de Héléna, si proche, me désirant avec une telle ardeur, me fait frissonner de la tête aux pieds.
Une pensée me traverse alors, un désir timide mais persistant : peut-être que j’aurais aimé qu’Héléna se soit montrée lorsqu’elle m’a vue. Peut-être que j’aurais voulu savoir qu’elle était là, nous regardant, me regardant. Peut-être que j’aurais voulu la sentir, proche, si proche, à quelques pas seulement, prête à se joindre à nous. L’idée me surprend, mais elle fait naître une chaleur encore plus intense dans mon bas-ventre.
Je ressens une étrange contradiction, entre la gêne de me savoir etait observée et l’excitation que ses mots font naître en moi. Mon corps réagit à cette révélation comme s’il répondait à un appel secret que je ne savais pas exister en moi. Une chaleur douce et insistante monte de mon ventre, envahit ma poitrine, mes joues, me laissant à la fois tremblante et curieusement désireuse d’en savoir plus. Le désir d’être découverte, d’être désirée de cette manière, fait naître en moi une envie irrésistible de rapprocher mon corps du sien, de combler l’espace qui nous sépare.''
Héléna s'approche un peu plus, ses yeux brillant d'une lueur espiègle. « C'est vrai. Et depuis ce jour, je n'arrête pas de penser à toi. L'idée de partager cette expérience avec toi et Esteban me tente beaucoup. D'autant plus que... »
Je la regarde avec curiosité. « D'autant plus que...que...quoi ? »
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