Chapitre 165
Ma tête étant posée sur le haut de sa cuisse, je la tourne de droite à gauche pour regarder mon homme et à force de frotter mon crâne contre le haut de ses cuisses, je ressens comme quelque chose qui commence à durcir.
Nous sommes encore troublés par la conversation que nous venons d’avoir. La confession d’Héléna, détaillant ses désirs et fantasmes, a éveillé quelque chose de profond en nous. Je sens l'excitation monter en moi, mon corps réagissant instinctivement à ces pensées intimes qui tournent dans mon esprit. Esteban, lui, repasse en boucle les mots prononcés par moi-même (fellation, pénétration, masturbation, cunni, caresses, seins, tétons...) ses propres désirs se mêlant à ceux d'Héléna. L’atmosphère est électrique, chargée d’une tension palpable.
Nos regards se croisent, lourds de sous-entendus. Sans échanger un mot, nous savons exactement ce que l'autre ressent. Lentement, je glisse ma main entre mes cuisses, mes doigts trouvent le tissu de mon shortis. Je dirige mes doigts sur le côté du tissu, l'écarte légèrement, laissant ma peau frissonner sous la caresse de l'air.
Mon souffle s’accélère tandis que nos yeux restent fixés l'un sur l'autre, amplifiant la tension entre nous. Un silence électrique remplit la pièce, chaque geste devient plus conscient, chaque sensation plus vive. Mes doigts continuent leur exploration, hésitant, puis plus assurés, tandis que mon corps réagit instinctivement à ce jeu tacite, un échange silencieux, mais brûlant d'intensité.
Je sens l'humidité de ma petite vulve sous la pulpe de mes doigts, une chaleur qui s'intensifie à chaque instant. Mon cœur bat plus fort, mes respirations deviennent plus courtes et irrégulières. Mes doigts glissent doucement, explorant mes lèvres intimes avec une délicatesse que seul mon désir peut me guider. Chacun de mes mouvements amplifie mes sensations et je me perds dans cette montée de plaisir, consciente de la façon dont nos regards se répondent, intensifiant l’atmosphère…
Je sens mon souffle s’accélérer alors que je regarde Esteban. Il le sait, il l’a toujours su : j’adore le voir se donner en spectacle devant moi. Et lui aussi, il prend plaisir à s’exhiber, à se montrer dans toute sa vulnérabilité.
Esteban d’une voix rauque, les yeux fixés sur moi me disent :
- Tu sais à quel point ça m’excite de me caresser devant toi… De sentir ton regard sur moi, c’est insupportablement bon. J'aime sentir ma main sur mon sexe et j'aime voir ton visage et les expressions qu'il m'offre, voir ton sourire et ton envie de m'emboucher.
Je regarde mon homme, alors que ses doigts glissent lentement le long de son ventre, ses muscles se contractant sous sa peau. Ses mouvements sont lents, calculés, faits pour me provoquer et il le sait. Ses doigts effleurent son sexe à travers le tissu de son boxer et déjà, je peux voir son désir monter, palpable, presque étouffant dans l’air qui nous entoure. Mes lèvres se serrant, le souffle court.
- Enlève-le. Lui dis-je. Je veux voir ta main sur ton pénis.
"Oh mon Dieu… Esteban… Comment tu es beau…humm mm, j'aime le voir nu, voir ses pectoraux, ses tablettes, ses muscles, son sexe et j'aime le voir bander ! Je trouve que c'est beau un homme nu qui bande !''
Je le vois retirer petit à petit son boxer, et mon regard se fixe sur lui, captivée par ce qu'il va me montrer et même, si je connais cet endroit sur le bout de la langue, je ne me lasse jamais de la voir et de la revoir et comme dirai l'expression '' à consommer sans modération ''. Une vague de chaleur monte aussitôt en moi.
"Je n’en reviens pas… ce mec est à moi ! Tout ça… c'est pour moi."
Ma respiration s’accélère sans que je puisse la contrôler. Je sens cette chaleur familière descendre jusque dans mon bas ventre et s’intensifier à chaque seconde.
"Il m'excite tellement… Je ne peux même pas contrôler le frottement de mes cuisses qui se serrent… Oh non, je vais devenir folle… Je la veux…"
Je mordille doucement ma lèvre inférieure, mes yeux rivés sur mon chéri qui prend son sexe dans sa main, comme s’il savait exactement l’effet que cela aurait sur moi.
"Comment est-ce possible que je le désire autant ? C'est comme si mon corps brûlait… J’ai besoin de le toucher… de le sentir… de l'avoir en moi… maintenant."
Une chaleur humide entre mes cuisses trahit mon envie irrésistible de le toucher sentant ma cyprine ruisseler le long de mes cuisses.
"Je ne tiendrai pas longtemps… c'est impossible… Je le veux. Là, tout de suite… dans moi"
- Mais bien sûr ma chérie. Me dit-il avec un sourire conquérant.
Sa respiration s’accélère à mesure que sa main commence à explorer les contours de sa hampe et déjà, je sens mon propre corps réagir, mon cœur battant plus fort.
Je le regarde, fascinée, alors que ses doigts se posent délicatement sur son gland, effleurant sa peau sensible avec une lenteur provocante.
Il sait que je ne peux pas résister à ce spectacle et il prend son tout son temps, jouant avec moi autant qu'avec lui-même. Il trace une ligne le long de son frein, son souffle se faisant plus court, presque haletant, tandis qu'il s'abandonne à ses propres caresses. Son excitation est palpable et je peux quasiment sentir la chaleur de son plaisir à distance.
Difficile pour moi de lui résister, l'envie de la prendre et de la tenir dans mes mains est insupportable." Je veux la goûter… la sentir caresser ma bouche, jouer avec ma langue et remplir ma gorge !"
À mes pensées, ma langue glisse instinctivement sur mes lèvres, les humidifient sans même que je m'en rende compte, alors que j'observe mon homme avec une attention intense. Mes propres envies montent en flèche à chaque mouvement de sa main, chaque va-et-vient plus appuyé. Je vois ses doigts descendent plus bas, effleurant ses bourses avec une douceur infinie, jouant avec la peau tendue de ses couilles lui provoquant des frissons visibles sur son corps.
Esteban avec un gémissement à peine contenu me sourit
- Regarde-moi bien, Hoani… Regarde ce que je fais pour toi. Regarde bien ma main ! tu vois mon sexe comment il bouge !... tu aimes me voir ainsi… je sais que tu aimes me voir me masturber et que tu trouves cela joli.
- Ouiiii, mon cœur, caresse-toi pour moi !...ouiiiiiiiii… j'adore quand tu te masturbes et c'est vrai que je trouve cela très beau, j'aime voir ta main faire des va-et-viens sur ta queue et tu sais combien cela m'excite aussi…
Sa main s’enroule enfin autour de sa verge et je ne peux que le regarder, captivée par son geste, alors qu’il commence à faire de lents allers-retours réguliers sur sa bite. Chacun de ses mouvements est maîtrisé, étudié pour maximiser son plaisir et pour me rendre folle de désir.
Je mords légèrement ma lèvre inférieure, ma langue venant encore faire des va-et-vient sur mes lèvres, humides d'excitation, tandis que la chaleur dans mon bas-ventre devient presque insupportable.
- J'adore te regarder te toucher comme ça... C'est tellement excitant et tu me fais grave mouiller mon cœur. Ma petite chatte est dégoulinante de plaisir !
Je peux à peine contrôler mon propre souffle, mes yeux rivés sur sa main qui continue de caresser son bâton avec cette lenteur dévastatrice. Sa paume glisse sur la longueur de sa bite, s’attardant parfois sur le gland en effectuant des mouvements circulaires sur le dessus en prenant soins de bien me montrer comment il fait pour étaler son liquide pré-séminal sur son gland, puis redescend, s'enroulant à nouveau autour de ses bourses pour un doux massage, avant de revenir sur son frein. Je vois le bout de son doigt qui vient agacer ce petit bout de peau amplifiant les frissons qui parcourent son corps.
Ses gémissements deviennent plus fréquents, son plaisir presque palpable, et je sens ma propre excitation monter en flèche.
Je regarde Esteban avec un sourire au coin des lèvres, fier de m'offrir ce spectacle et fier de faire ce qu'il fait.
- Je sais que ça te fait de l'effet… Tu ne peux pas détourner tes yeux, n’est-ce pas ? Ma chérie… Me voir ainsi devant toi, cela doit te torturer de l'intérieur. Je le fais pour toi, pour nous… Te voir ainsi, captivée, me rend heureux. Je veux que tu ressentes chaque instant, chaque frisson qui monte en moi. Je veux que tu suives la progression de ma main sur mon mât et que tu t'imagines que c'est toi qui me masturbes pour me finir et voir tes mains éclaboussés de mon sperme.
"Je vais prendre tous mon temps, chacun de mes gestes sera lent et calculé, pour prolonger cet échange. J'aime la manière dont son regard ne quitte pas mes mains, comme si elle était envoûtée par la chorégraphie que j'exécute pour elle. C'est comme si nos désirs se répondaient sans qu'un mot ne soit prononcé, et cela me comble.
J'aime sentir cette chaleur qui émane de mon corps. Il y a quelque chose de profondément intime dans ce moment, dans cette connexion silencieuse. J'adore la façon dont les yeux de ma chérie me dévore, comment elle scrute mon corps avec une attention presque hypnotique. Savoir que cela l'atteint, que cela l'émeut, me remplit d'un plaisir indescriptible. La savoir soumis à mon propre plaisir sans pouvoir intervenir, c'est vraiment très excitant. Surtout qu'elle aime s'occuper de moi. Caresser mon corps et aime me prendre en bouche et je ne vais surtout pas m'en plaindre.
J'adore me caresser me masturber sous son regard, lui offrir le spectacle de mes mains dansant le long de ma hampe. Sentir ses yeux posés sur moi, posés sur mon sexe, sur ma main qui observe mes allures, chaque mouvement de ma main amplifiant mon plaisir. C'est comme si, en me donnant ainsi à Hoani visuellement, je créais une intimité unique, un lien profond entre nous deux. Savoir qu'elle prend autant de plaisir à me regarder que moi à me dévoiler me rend encore plus audacieux, plus confiant. J'aime sentir cette excitation monter en moi, alimentée par son désir et son attention, comme si nos deux corps réagissaient ensemble à chaque frisson.
Je veux qu'elle ressente chaque frisson, chaque souffle que je laisse échapper. Ce moment n'appartient qu'à nous, et rien n'est plus beau que de me savoir désiré par elle de cette manière. J'imagine comment cela doit être dur pour ma chérie de ne pas pouvoir venir remplacer ma main par sa bouche. Mais que c'est excitant de lui interdire cela ! "
Mon chéri, accélère légèrement le rythme, ses allers-retours devenant plus appuyés, plus insistants. Je suis chacun de ses mouvements, mes propres doigts glissant sur mon ventre, comme si mon corps réclamait de participer à ce spectacle. Mais pour l'instant, je reste hypnotisée par lui, par la façon dont il se donne entièrement à moi par le plaisir qu'il prend à se montrer ainsi.
À bout de souffle, j'arrive à lui dire
- Non… je ne peux pas… Continue, Esteban, montre-moi tout. Va jusqu'au bout ! J’aime quand tu fais ça, quand tu te touches pour moi… C’est un spectacle qui m’électrise. J'adore voir ta main branler ton membre, la voir jouer avec ton gland, voir ton corps transpirer par ton excitation, voir les soubresauts de tes hanches, voir les grimaces sur ton visage. Tu sais que cela me met dans des états pas possibles !
- Alors...regarde-moi... Hoani ! Regarde-moi me masturber ! J'adore voir ta tête et te voir réagir à chacun de mes gestes, sentir ton désir monter… Ça m'excite grave ! Je sais que de me voir ainsi te rend volcanique ! Ah… ah… ah… et moi, j'adore te faire languir et peut être même un peu souffrir de ne pas pouvoir intervenir.
Ses caresses deviennent plus affirmées, plus précises, alors que son plaisir semble monter avec une rapidité déconcertante. Mon homme gémit plus fort, sa main allant et venant dans une danse sensuelle que je ne peux m'empêcher d'admirer. Mon propre corps répond instinctivement, mes doigts s’aventurent plus bas, à la recherche de ce même plaisir.
- Continue, Esteban… Je veux te voir te perdre encore, pour moi, je veux te voir jouir !!!
Mon chéri me sourit, pris dans son propre plaisir. Mon regard ne quitte pas ses mouvements, chaque caresse qu’il s’inflige m’enflamme un peu plus, et je sens cette chaleur familière se répandre en moi. Nos respirations se synchronisent, nos corps se répondent sans même un mot, un échange où chaque mouvement de l’un amplifie le désir de l’autre.
- Caresse-toi, ma chérie, laisse-toi aller, laisse tes mains parcourir ton sexe, laisse-les caresser ton clitoris, l'agacer avec frénésie pour mon plaisir !
- Ouiiii, mon cœur, regarde !, lui dis-je, me caressant sensuellement mon bouton d'amour.
Je me laisse glisser contre le canapé, mon souffle déjà plus rapide. Sous le regard brûlant d'Esteban, je commence à caresser doucement mon clitoris, sentant chaque mouvement éveiller en moi des vagues de plaisir. Mes doigts explorent avec lenteur et son regard, si intense, me rend encore plus sensible à chaque sensation.
Mes yeux rivés sur Esteban, observant chaque réaction sur son visage. Lui aussi cède à ses envies, sa main vers sur son sexe déjà dur par le spectacle que, je lui offre.
Chaque va-et-vient de sa main révéle son gland rosé, et les soupirs étouffés qu'il laisse échapper témoignent de la proximité de son plaisir. Nos regards se croissent, créant une connexion intense et intime, renforçant la chaleur du moment partagé.
Le silence de la pièce est seulement troublé par nos respirations de plus en plus rapides. Nos regards ne se quittent pas, créant un lien complice. Chaque geste que nous faisons l’un en face de l’autre attise encore plus notre désir. Mes gémissements deviennent plus fréquents, mes doigts glissent plus vite sur mon clitoris, tandis que je regarde Esteban se donner du plaisir à côté de moi. Son gland rosé apparaît à chaque va-et-vient de sa main. Je ne peux pas m'empêcher de remarquer les veines saillantes sur la queue de mon homme, gonflées sous l’effet de sa masturbation et de son excitation, vibrant au rythme de ses pulsations.
- Oui, continue, j’adore te voir comme ça... murmure-t-il, sa voix rauque d’excitation.
Ses mots me poussent à aller plus loin. Je glisse un doigt à l’intérieur de moi, puis un autre, tout en continuant à stimuler mon clitoris. Je l’entends soupirer, savourant le spectacle.
- Tu es tellement belle quand tu te touches... Ça m'excite tellement, m’encourageant à continuer.
Ses paroles amplifient mon désir, rendant chacune de mes caresses encore plus profondes, plus intense.
Esteban me sourit, un sourire de pure satisfaction, en voyant combien je suis captivée. Son souffle se fait plus court, ses mouvements plus urgents, mais toujours contrôlés, faits pour prolonger le plaisir autant pour lui que pour moi. Ses doigts caressent à nouveau son gland, traçant de lents cercles précis autour de cette zone si sensible, avant de revenir sur son frein, le tirant légèrement. Je peux voir à quel point cela le fait frémir, son corps entier réagissant à ces caresses, ses abdominaux se contractent, ses pectoraux se gonflent, son souffle, c'est désorganisé.
Je suis incapable de détourner les yeux. Chaque geste qu'il fait est une invitation, une promesse de plaisir partagé. Il sait que je le regarde avec un désir brûlant et c'est ce qui l'excite encore plus. Mes lèvres sont humides, ma langue glisse encore dessus, comme pour apaiser l'envie croissante en moi, mais ça ne fait que l’amplifier.
Je me mords doucement la lèvre, incapable de contenir l'excitation que me procure ce spectacle.
"J’adore me perdre dans son regard quand je commence à me caresser. Il m’observe avec une telle intensité que ça me fait frissonner. Chaque fois que mes doigts glissent sur mon clitoris, je sens le désir monter et je sais qu’il le voit aussi. J’aime lui montrer à quel point je mouille sous mes caresses, lui offrir ce spectacle, sentir ma cyprine ruisseler lentement le long de mes cuisses.
J'adore me caresser et le regarder lui aussi se donner du plaisir et cette symbiose entre nos deux corps m’excite encore plus. J'aime sentir mes doigts jouer avec mon clitoris et pénétrer mon vagin en sentant mes tétons se durcir sous mon excitation. J'aime que mes caresses deviennent plus intenses, plus profonde et savoir qu’il me regarde prendre du plaisir en même temps que lui décuplent mes sensations"
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