Avant de vous présenter le texte, je tiens à préciser que c'est Timéo lui-même qui a demandé à être représenter par :

-un mental digne de Maugrey Fol Œil

-Un aspect de vieux

-Une canne baguette magique digne de Lucius Malefoy.

Voilà voilà !

"Une vielle personne, adossé sur une canne noire au pommeau d'argent, en forme de serpent, discutait avec un homme plus jeune aux cheveux bruns, avec des lunettes.

Mais, je m'étais à peine avancé, que le vieux tira une baguette magique de sa canne et la pointa sur moi. J'esquivais de justesse le sort, qui alla exploser une petite statue derrière moi. Après la peur ce fut l'émerveillement qui s'empara de moi : les baguettes magiques étaient si rares. En avoir une est un honneur.

« T'es qui ? Réponds vite !

La voix du vieil homme me ramena à la réalité :

-Je... suis... Je suis Milia... Bredouillais-je.

-Ah ouais, l'invitée de la reine. Timéo. Dit-il en tendant la main.

Pendant que la serais, l'autre homme se présenta à son tour :

-Monsieur P., pour vous servir. Je suis le grand peintre du Royaume.

-Enchanté. Dis-je en lâchant la main de Timéo pour celle du peintre.

-Veuillez pardonner la rudesse de mon compagnon. Il a tendance à être un peu trop... Disons...Parano.

-Moi parano ?! Pas du tout ! S'écria Timéo.

-Je te signale que tu as failli tuer les serviteurs qui t'apportaient ton repas.

-Il était empoisonné ! Le coulis rouge sur mes tartines était un mélange de poison bien connu : le Cïadonne. Bougonna Timéo.

-C'était de la confiture, Timéo.

Le peintre prit congé, excédé par les crises de folies de son ami. À peine eut-il quitté la pièce que Timéo me demanda :

-Maitrises-tu la magie ?

-Un peu... Les bases. Là d'où je viens, la magie ne doit pas être pratiqué par les paysans.

-Alors, ton royaume n'est pas un bon lieu. Ronchonna-t-il. Je vais devoir tout apprendre. »

C'est ainsi que débuta mon entrainement acharné avec Timéo. Ce n'était que le début de mon calvaire."