- Idées en vrac -

A présent, mon trio infernal est arrivé aux environs de l'an 30 de notre ère (voir note)
Ils sont en Palestine, en Judée ou en Galilée.

Tout ça pour qu'ils tombent sur un détachement de romains. Revoir l'organisation des troupes romaines (manipules, cohortes, légion, etc...) ainsi que les différents grades. Il serait bon de se souvenir aussi des périodes d'engagement, des retraites et des lopins de terre concédées aux légionnaires en fin de contrat. Quelques personnages pittoresques seraient sympa, genre des aïeuls improbables de Raymond ?

Les romains les voient, s'étonnent de leur fringues. Rapidement, ils les serrent parce que tout ce qui sort de l'ordinaire est considéré comme séditieux chez tout soldat romain qui se respecte.

Le décurion doit avoir un nom. Il va vivre pendant quelques chapitres, peut-être même jusqu'à la crucifixion finale.

Coup de bol dans leur malheur, ils vont voyager dans une roulotte-prison. Comme ça, pas de marche à se taper.

Ils font la pelure aux romains, donc. Et, ce faisant, me font penser que je dois trouver une astuce pour la barrière des langues... Ils parlent pas le latin ancien, mes lascars ! Par contre, ils vont se démmerder avec l'arabe ancien qu'utilisent les brigands, grâce à leurs campagnes nord africaines, au temps de la lutte pour l'indépendance des pays sous tutelle française. Je pourrais y glisser un apparté rigolo du narrateur, juste pour faire passer la pilule...

Passé cette nécessité, je pourrai faire oblier le problème des langues.

Ils sont sauvés par les bandits qui les trouvent sympas, malgré leurs fringues ridicules, surtout celles de la vioque.

Comme ils ne savent pas où aller, ils suivent les bandits.

Ceux-là les emmène sur une montagne secrète, tenue par un mystérieux chef. Recherches obligatoires, et digressions hautement prévisibles, à propos du Vieux de la Montagne, chef des Assassins. ( à modifier, bien entendu, puisque ce con n'est identifié pour la première fois qu'au onzième siècle, hein ?)
C'est unn addict profond à la coke, qui perd les pédales tout le temps, qui ne dit que des conneries et adore massacrer tout ce qui bouge. Un vrai taré, donc.

Il prend Raymond en sympathie, ce qui les sauve d'une mort terrible : enduit de miel et laissé à la voracité des mouches qui pullulent dans la région. Heureusement, René a servi de cobaye en la matière, mais trop sale pour les insectes, les mouches ont préféré se suicider en masse plutôt que de devoir bouffer du René ! Sale temps pour les mouches, donc.

C'est le vieux de la montagne qui va tout leur expliquer, comprenant que ces visiteurs rigolos sont une avant-garde des troupes de Dieu qui viendra bientôt sur Terre pour mettre un terme à quelques soucis domestiques qui lui tiennent à coeur mais que les hommes négligent d'assumer. Donc, le Vieux est vite respectueux de Raymond qu'il prend pour un envoyé spécial du ciel.

ensuite ? A imaginer !

---------------------------------------------------------------------

Schéma pour la série 4 : ( à supprimer au fur et à mesure)

Il est temps d'expliquer qu'ils ont fait un saut dans le Passé ! (largement, même !)

penser à accélérer le rythme.

- Ils arrivent dans les faubourgs de Jérusalem (vite, un plan !)

- Sidérés, estomaqués, retournés, etc. Bref, dans la misère.

- Ils réalisent que le retour sera difficile, si retour il y a.

- C'est le jour de la Pâque (vite, un petit rafraichissement !) et il y a foule dans la ville sainte.

- Un mec un peu spécial attire le monde à lui. Qui est-ce ?

- Les romains, eux, veulent seulement rentrer dans leur caserne et se reposer après un voyage de plusieurs semaines dans le désert.

- Le convoi se scinde en deux groupes : R et R d'un côté, direction prison, A vers un ailleurs (dont je ne sais rien pour le moment, mais je veux pouvoir profiter d'une petite aventure à raconter quand ils se retrouveront tous)

- Dans une petite rue, les romains se font attaquer par des bandits. Les romains se prennent une raclée et s'enfuient sans demander leur reste. Décideront de ramasser quelques ivrognes dans les rues de Jérusalem pour faire croire à leurs supérieurs qu'ils ont bien fait leur boulot, jusqu'à la dernière minute, même, puisqu'ils ont dû se battre jusqu'au bout pour ramener les dangereux criminels qu'ils ont croisés pendant leur expédition !

- En fait, les assaillants sont venus pour libérer un des prisonniers de la roulotte-prison. Ce type s'appelle Bar Abbas...

- Rapidement, R et R se retrouvent libres. Libres, mais perdus dans un monde inconnu.

- Après quelques palabres assez creuses, ils décident de retrouver Agathe.

- Recherches vaines, bien entendu. Le soir venu, ils se retrouvent sans le vouloir hors des remparts de la ville sainte. Celle-ci ferme ses lourdes portes et ils se retrouvent donc...dehors !

- Ils errent un peu avant d'apercevoir des feux un peu plus loin dans la cambrousse. Ils s'y rendent dans l'espoir d'y trouver à manger.

- Il y a des milliers de personnes agglutinées dans la plaine. Ils cernent un mec qui parle sans discontinuer, qui donne des conseils, raconte des trucs incompréhensibles. Etc...

- En attendant, ils bouffent !

- Par hasard, ils tombent sur Agathe ! Joie, effusion, Agathe raconte ses petites mésaventures.

- Puis, un mec vient les voir. Il chope Agathe par la taille (il a de grands bras...!) et demande à celle-ci qui sont ces deux vieux habillés dans des costards à la con.

- Agathe, toujours à la pointe de l'information, fait les présentations.

- Raymond, René, ses potes de voyage.

- Et, face à eux, un jeune homme d'une trentaine d'années, prénommé Jésus...

FIN DE LA PARTIE DEUX.