Chapitre 18 : Retomber en enfance, quel bonheur.

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Quand enfin nous terminons, on nous emmène visiter la ville.

Le froid fait grelotter Kook et son petit nez rose. 

Son épaule est solidement coller à le mienne alors qu'il tente d'enfoncer plus loin ses mains dans les poches de sa doudoune. Un léger sourire se cache derrière mon masque noir et mes lunettes. Je le trouve adorable comme ça.

L'hiver rude n'empêche pas les rues de Tokyo d'être bondées.

Tout le monde marche d'un pas décidé vers une destination inconnus, armé de son parapluie.

Le blancs de la neige semble couvrir tout ce qui est possible de l'être. Les immenses publicités et les devantures de magasins semblent encore plus colorées et lumineuses. Quel étrange paysage. On sent que noël approche. Toutes les boutiques se sont parées de leurs plus belles décorations.

Le groupe avance en parlant joyeusement. 

Ça fait du bien de pouvoir marcher sans être pressé par le temps. En fait, je me sens bien là. Sous la neige certes, mais comme à la maison.

Nous nous arrêtons dans un parc qui semble pareil à un rêve sous cette couche de poudreuse. Elle scintille sous le soleil orange de l'après-midi.

Nous trouvons des bancs pas très loin pour se reposer un peu. 

Ils sont à l'abri sous un grand haut-vent, mais J-Hope et Jimin décident de ne pas rester dessous et court sous la neige. Mes yeux se posent de nouveau sur mon ami qui sourit à pleine dents. Sa bouille rouge est à croquer. Mais JiMin lui envoie soudain une boule de neige. Il n'en faut pas plus au maknae pour oublier le froid et courir après le garçon aux cheveux roses.

Je ris de bon cœur avec Jin et NamJoon en les regardant chahuter. Mais pas bien longtemps ! C'est que je vais pas laisser Kook se faire enterrer vivant par J-Hope et Jimin !

Alors je m'élance et me rallie à mon cher ami pour riposter. Je suis suivit de près par Jin qui nous film en éclatant de rire à chaque chute ou raté de la part des deux camps.

On s'amuse ainsi une bonne heure avant de nous arrêter, essoufflés. 

Kook et moi lançons des insultes au camps adversaire qu'on vient de battre à plate couture. Les deux autres aussi se mettent à crier et finalement nous partons, bien fatigué !

Nous décidons de nous goinfrer et de boire un petit coup dans un restaurant de viandes.

Nous y passons des heures, à rire, boire, sauter, danser,... 

Bref, on s'éclate !

Ça fait du bien d'être juste entre nous et de prendre du bon temps...

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