Chapitre 1 : Enquête à Sepsaï
Fixant le temple depuis le village, le jeune prince, restait pensif. Vêtue d’une longue tunique blanche en lin, à bretelle unique, il restait là, les bras croisés alors que le vent chaud du désert venait faire virevolter quelques mèches de ses court cheveux noir. Il portait au cou un large collier d’or incrusté de pierre précieuse, améthyste, et lapis-lazuli en était les principales. Bien qu’âgé de 16 ans, il avait été nommé vizir par son frère, lorsque ce dernier était monté sur le trône. Cette affaire, si étrange soit elle, allé donc être sa première grande tâche, et il ne pouvait se permettre la moindre erreur. Amset avait un grand respect pour son ainée. Et le décevoir n’était alors à ses yeux, nullement acceptable. Il lui fallait prendre cette affaire avec sérieux mais surtout étudié minutieusement toutes les possibilités.
- Dites moi vieil homme, ce temple, au nom de quel dieu a-t-il était élevé ? Je ne vois aucune statue, aucun signe particulier …
- Je l’ignore moi-même mon prince. Ce temple est là depuis bien des années.
- Et personne ne sais à qui il était dédié ?
- Non mon prince. Nous ne détenons aucune information sur ce dernier.
Plus que perplexe a cette information, il commençait à s’approchait lentement de ce dernier. Couvrant sa bouche et son nez d’un tissu en lin, pour résister à l’odeur des corps en décompositions, qui s’intensifier à son approche. Il y en avait peut-être des centaines, qui baignée dans le sable humidifié par leurs jus corporels. Les plus anciens, comme le corps du berger, n'était plus que des squelettes, dont la chair pendait des os. Il y avait beaucoup de petits animaux, du moins ce qu'il en restait. Nombre d'entre eux étaient des charognards, qui avait été attiré là par l'odeur de la mort. Cependant, aucun d'eux n'a pu avoir l'occasion de satisfaire son appétit. Comme tous les autres, ils avaient péri avant d'arriver à leurs fins. Les plus gros animaux, comme des gnous, des bœufs, ou encore des moutons, semblait mettre un peu plus de temps à pourrir. L’odeur était forte, infecte, l'air irrespirable, et si nauséabond qu'il était difficile de se retenir de vomir. Aussi, lorsqu’il commençait à atteindre les premiers cadavres, il se sentis soudain mal. Il était bien sûr pris de nausée, tant son odorat était attaqué par les effluves immondes qui se dégagé de l’endroit. Comme une fatigue extrême s’emparé de lui, son corps devenait lourd et sa vision se brouillait. Il avait du mal à avançait, mais malgré ces sensations qui parcourait son jeune corps, il s’arrêter et venait attraper un bâton à ses pieds. Il le planté au sol, marquant ainsi la zone à ne pas franchir.
- Mon prince ! ne vous approchez pas tant je vous en prie ! …
Hurlait le vieillard inquiet voyant le prince se sentir mal. Rassemblant ainsi toute ses forces, il regagné le village avant de tomber à genoux dans le sable, haletant et visiblement épuisé. Une mèche de ses cheveux avait curieusement pris une couleur blanchâtre. Un de ses homme, accourait alors vers lui et le relevé l’aidant à marcher.
- Ce temple dégage une énergie qui n’est pas naturel. Quelque chose de mauvais se trouve à l’intérieur. Je peux le sentir.
- Mon prince vous sentez vous bien ?
- Ça ira. Mais je vais devoir retournais au palais, et effectuer des recherches pour en savoir plus.
Le jeune garçon fixait alors le vieil homme, se tenant au soldat qui le maintenait debout.
- Mes hommes resteront ici et veilleront à ce que personne ne s’approche de ce lieu. Je ne sais quel secret il renferme mais une chose est sûre… ce temple est maudit. Que personne ne dépasse ce bâton planté dans le sable. Personne.
- Entendu mon prince…
Donnant ainsi ses ordres à ses hommes, il regagné la rive. Le soleil disparaissant lentement derrière les dunes de sables brulant. Il ne pouvait se permettre de perdre du temps, aussi il voyagerait de nuit pour qu’au matin, a son arrivé à Acperemu, il puisse commençait son investigation dans les parchemins des archives. Ayant maintenant le temple dans son dos, ce dernier, accueillant les derniers rayons de soleil, prenez une apparence bien plus sinistre. Semblant avoir été bâti à la hâte, avec des pierres de grès et de calcaire, il donnait l'impression que la construction n'avait pas été terminée. Aucune inscription, aucune couleur, aucune statue. De même, ce qui semblait tout aussi étrange, était les deux petites ruines se trouvant au niveau de l'entrée principal. Comme s'il s'agissait de postes de gardien. Il semblait s'agir là, de deux petites maisonnettes, juste assez grande pour accueillir deux personnes chacune. Elles-mêmes n'avaient pas été peinte, et avait été bâti en briques d'argile. Comme Amset avait pu également le remarquer, et ce qui lui avait d’ailleurs semblé étrange, c'est que le temple, avait l'air d'avoir été scellé. Il n'y avait visiblement plus aucune entrée possible. Aussi se demandait-il pour quelle raison, les accès avaient-ils été muret. Cela renforçait son idée, que le lieu été maudit. Peut-être une force maléfique demeurer entre ces murs. En revanche, il ne parvenait pas à comprendre pourquoi, nul ne savait ce qu’était ce temple. Peut-être que pharaon en aurait-il entendu parler. C'est pourquoi il devait s'entretenir d'urgence avec lui. La zone de mort autour de ce temple n'était certes pas très grande, mais pouvait-il risquer de ne prendre cela au sérieux ? De prendre le risque, que cette zone ne s'étende ? Malgré son jeune âge, il savait qu'il devait agir, laissez traîner cette histoire, pourrait mettre en péril L'Égypte entière, il en était certain.
Cette nuit-là, encore affaiblis par ce qui lui était arrivé au temple, il fixait les étoiles dans le ciel alors que la galère avançait tranquillement sur le fleuve. On ne pouvait pas dire qu'il était serein. Bien au contraire, ce qui l'avait vu et ce qu'il avait ressenti là-bas, semblait l'avoir malmené à l'intérieur. Même l'odeur de la mort semblait l'avoir suivie. Elle s'était comme incrustée, dans ces vêtements, sa peau, et ses narines. Il la sentait encore si fort, qu’il n’avait était capable d'avaler quoi que ce soit. Dorénavant, même la vue d'un morceau de viande semblait lui donner la nausée. Du haut de ses 16 ans, il n'avait jamais assisté à un tel spectacle. Au fond de lui il aurait voulu abandonner. La tâche qui lui était confiée là, semblait bien grande pour ses frêles épaules. Enfin frêle n'est pas ce qui le décrirais le mieux. Il faut dire, que comme n'importe quel prince d'Égypte, il avait subi une éducation stricte et un entraînement intensif pour devenir un grand guerrier. Aussi son corps était assez musclé pour son âge. Et en parlant d’âge ce dernier était prêt à se marier. Son frère lui-même l’avais fortement invité à choisir une épouse. Il n'était plus considéré comme un enfant. Il ne l'avouerait pas lui-même, mais passer à l'âge adulte l'effrayer quelque peu. Pourtant, il avait la confiance de pharaon, et cela lui donnait le courage. Le courage de réussir à affronter ces événements étranges, et de découvrir la vérité sur ce temple. L’homme l’ayant aidé plus tôt, le voyant ainsi pensif, s’approchait de lui.
- Mon prince tout va bien ?
- Oui, je me sens mieux.
- Qu’est ce qu’il se passe d’après vous là-bas ?
- Je ne puis le dire. Pas encore.
- Si ce mal s’étant… l’Egypte entière se verrais menacé… vous ne vous êtes approché qu’à une centaine de mètre du temple et pourtant … vos cheveux eux même en ont gardé la trace…
Glissant une main dans ces derniers le prince, regardait l’homme.
- Faite en sorte que l’on arrive le plus rapidement possible. Je dois absolument avoir une discussion avec pharaon et trouvais des informations sur ce temple.
- Bien mon prince.
Allant ensuite s’allongé, et bien qu’épuisé il ne cessé de réfléchir, mettant ainsi des heures avant de réussir à s’endormir. Il faut dire qu’il avait de nombreuses choses en tête, et que trouvé de l’apaisement parmi toute ses pensées n’était chose aisé.
Dans la matinée la galère du prince arrivé aux abords d'Acperemu. Il dormait encore et l'homme qui l'avait accompagné s'approchait posant une main sur son épaule.
- Mon prince, réveillez-vous, nous sommes arrivés.
Affichant un air fatigué, il se redressait alors et se frotter les yeux. En tournant le regard sur sa droite, il put apercevoir la grande cité blanchâtre s'étendre devant lui. Un peu plus surélevé de la ville, on pouvait distinguer le palais. Immense, aux couleurs blanche et turquoise, avec ses grandes colonnes, ces immenses statues, représentant pharaon et sa jeune épouse. Ce dernier les avait faits ajouter récemment, remplaçant ainsi les statues de son père et de sa mère. Tout ça, pour que tout le monde sache qui était pharaon maintenant. Alors que la galère venez se stopper près d'un quai en bois, il descendit avec son cheval et montez alors en selle. Aussi se pressant pour arriver au palais, il se lançait au galop, à travers les rues de la cité. Tous s’écartés à son passage, bien sûr certains manquant de tomber au sol, d’autres renversant des caisses qu'ils transportaient. Cela tout en lâchant des petits cris au passage du prince, se retenant bien sûr de l'injurier, comme ils auraient pu le faire si cela avait été un autre cavalier.
Empruntant la grande allée, dans laquelle était alignés de nombreuses statues de sphinx en granit noir, il finissait par arriver au palais. Son cheval à peine stoppé, il sautait de ce dernier et entrez rapidement dans l'édifice Royal. Les soldats, qui gardaient l'entrée, furent alors pris au nez par l'odeur puissante qui émanait du prince. Allant même jusqu’à ce demandait eux-mêmes, d'où est ce qu'il pouvait bien venir. Pressé par le temps, et par la situation, il entrait sans se faire annoncer dans la salle du trône où se trouvait son frère.
- Mon pharaon ! Mon frère, j'ai un m'entretenir avec vous d'urgence !
Pharaon, relevant la tête, et tenant son jeune fils dans les bras, fixez alors le prince. Il fut assez surpris car habituellement, il était du genre à respecter le protocole pour s'entretenir avec lui.
- Amset ? que se passe-t-il ? … Et, quelle est cette odeur immonde !?
- Comme vous me l'avez demandé mon frère je me suis rendue au village de Sepsaï. J'ai pris connaissance des événements étrange qui s'y déroulait. Mon frère, ce que j'ai vu là-bas n'était en rien naturel. Le mal y est à l'œuvre.
- Par tous les dieux mais, que me racontes tu là ?
- Il se trouve que près du village, est édifier un temple. Un temple bien étrange mon frère, qui n'est destiné à aucun Dieu. Les villageois eux-mêmes ne savent rien sur ce dernier.
- Un temple étrange ? craindrais-tu qu'une vulgaire secte y ait élu domicile ?
- Mon frère soyez sérieux. Autour de ce temple il n'y a que la mort. Aucun être vivant ne peut s'en approcher, car leur vie et comme aspiré par ce lieu maudit.
Le jeune vizir, montrait sa mèche de cheveux blanchâtre à pharaon. Le roi, confié alors à sa jeune épouse se trouvant près de lui, leur fils alors âgé de 2 ans. Il s'approchait ensuite de son frère et examiner sa chevelure. Cependant l'odeur était si forte qu'il reculait rapidement. La jeune reine, tenant son fils, le serrer alors contre elle. Elle était effrayée par les dires d’Amset.
- Mon frère ! Va donc prendre un bain, et discutons de cela plus tard.
- Plus tard !? mais frère ! …
- L'odeur que tu portes sur toi est insupportable frère ! Allons, pour le bien de mes royal narines, fais-le !
- Bien. Veuillez m'excuser, de vous avoir tant indisposé mon frère !
Prononçait-il d'un ton sec. Il se tournait et aller pour sortir gagnant ainsi la salle de bain la plus proche. « Il n'a pas l'air de prendre la chose au sérieux, pourtant la situation est grave, que ne comprend-il pas ? » pensait-il alors. Il espérait cependant qu'une fois propre et débarrassé de cette immonde odeur, pharaon serait plus disposer à l'écouter. Bien évidemment, il savait que de ce bain, il en avait besoin. Mais cela lui semblait être une perte de temps. Temps qu'il n’eût pas. L’enquête pour lui était loin d'être mené à bien. Il devait encore effectuer des recherches, dans les archives qui il savait actuellement était sens dessus-dessous. « C’était la bien le moment de tout mettre en désordre, je vais mettre un temps fou avant de trouver ce que je cherche. En espérant que je le trouve. » avait-il en tête alors que son corps se prélassait dans de l'eau tiède. Malgré cet instant qui aurait dû être un moment de détente pour lui, et pour son corps, son esprit lui ne cessez d'être malmené, encore et encore, par ces visions d'horreur, cette odeur et par l'imagination. Car oui, il imaginait beaucoup ce qu'il pouvait se trouver à l'intérieur de ce temple. Et c'est le pire qui lui venait en tête.
Afin de retirer l’odeur qu’il porté sur lui, il dû se laver à de nombreuse reprise. Ainsi une fois débarrassé de celle-ci, il se séché et enfilait une nouvelle tenue. Il se pressait alors pour rejoindre le pharaon, qui l’attendait dans la grande salle d’audience, bordé de grande colonne et où l’odeur de l’encens embaumé l’air. Le voyant seul, il s’approchait de lui en accélérant le pas.
- Amonhotep…
- Ça y est mon frère, tu t’es débarrassé de cette odeur ?
- Oui, excuse-moi, mais l’affaire était si urgente …
- Raconte-moi plus calmement ce que tu as vu.
Amset, fixant son frère, acquiesçait alors et lui fit un récit précis de tout ce qu’il avait vécu. Son frère semblant cette fois prendre cette affaire au sérieux.
- Dit moi Amset, que préconise tu ?
- Je dois effectuer des recherches. Je veux découvrir ce qu’est ce temple. N’en à tu jamais entendu parler ?
- Non jamais. Cependant dans les archives se trouve des papyrus relatifs à toute les constructions d’Egypte. Peut-être y trouveras-tu ce que tu cherches.
- Oui j’y ai également pensé.
- Alors rend toi aux archives sans perdre de temps. Et si jamais tu trouve quoi que ce soit, viens m’en faire part.
- Bien évidemment mon frère.
Alors que le jeune prince tourné le dos au roi, celui-ci s’approchais et posé une main sur son épaule.
- Amset, fait attention à toi. Cette enquête semble être plus dangereuse que je ne le pensé au départ.
Tournant le visage vers lui, il affichait un sourire a son ainé.
- Ne t’en fait pas mon frère, je serais prudent.
Relâchant l’épaule du prince, le roi souriait légèrement démontrant visiblement qu’il avait toute confiance en lui et en ses capacités. Ainsi une fois cette entretien terminé, Amset se rendait dans les archives. Sur place il aperçut des dizaines de scribes s’affairé a sortir tout les parchemins de leurs étagères, certains avaient commencé à en lire assis aux quatre coin de la grande salle. Un jeune scribe le remarquait alors et s’approchait, tenant dans ses bras plusieurs rouleau de papyrus.
- Bonjour mon prince, avez-vous besoin de quelque chose ?
- En effet, je cherche des informations sur un temple, près de Sepsaï.
- Les papyrus concernant les constructions sont tous entreposé dans ce coin là-bas. Mon maître est déjà en train de les classer…
- Bien, je te remercie.
Il se dirigé alors vers le fameux maître scribe et le fixait.
- Aoud, j’aurais besoin de trouver un parchemin en particulier.
Relevant la tête, le scribe posé alors le parchemin qu’il lisait et se relevé.
- Bien sur mon prince, dites-moi tout.
Amset, lui fit part de ce qu’il cherchait et le scribe, d’environ 50 ans, se mit à chercher dans la montagne de papyrus. Le prince savait que ça prendrait du temps aussi il l’aidait dans sa recherche. L’homme qui avait été son professeur lorsqu’il était enfant, porté sur lui un simple pagne et des sandales en cuir. Comme beaucoup d'égyptien, il avait le crane raser et son visage commencé à être creusé par les rides. Dans le plus grand des silences, les deux hommes fouillé chaque papyrus. Aoud finissant par trouvait ce que le prince chercher, après des heures de recherche.
- Je pense avoir trouvé mon prince.
- Vraiment ? Fais-moi voir ça !
Le scribe donnait alors au prince le papyrus, ce dernier était très ancien. Cependant il n’y était inscrit que peu de chose. Le plan du temple avait été réalisé comme ce dernier, à la hâte. Il n’y avait aucune information concernant son utilité ni même le scellement.
- C’est vide, cela ne m’aide en rien. Y a-t-il ici un autre papyrus concernant le village de Sepsaï par exemple ?
- On doit pouvoir trouver cela…
Le scribe frappait alors fortement ses mains, afin d’attirer l’attention de tous.
- Votre attention ! Notre prince a besoin de certains documents. Aussi tout ce qui concernerais Sepsaï ou le temple qui s’y trouve devra lui être remis.
- Entendu !
Répondait en cœur les scribes présents dans la salle. Tous stoppé alors leurs activité, pour effectuer les recherche du prince dans la mer de papyrus qu’était devenue la salle des archives. Amset souriait en voyant leurs aide et continuait à faire de même. Le jeune scribe qui l’avait aidé plus tôt s’approchait alors de son maître des parchemins en main.
- Maître, j’ai trouvé cela, je sais que ce n’est pas ce que cherche son altesse mais …
- De quoi s’agit-il ?
- De magie.
Le prince relevait la tête a ce mot, et s’approchait alors.
- De magie dit tu ?
- Oui…
- Il est vrai que ce n’est pas ce que je cherche, cependant cela pourrait bien m’être utile. Je vais les prendre.
Le jeune scribe les lui donnait alors et s’inclinait avant de reprendre les recherches. Celles-ci semblaient prendre une éternité. Deux jours s'était écoulait depuis le début des fouilles et c'est au milieu du troisième que finalement des parchemins venait à apparaitre. Tous concernant Sepsaï. Il y en avait très peu mais cela aiderais surement le prince qui prenait alors la pile de documents pour retournait a sa chambre. Une fois au calme, il s’asseyait sur son lit, étalant devant lui les nombreux parchemins. L’un d’eux attirait son attention.
- C’est une condamnation, pour crime contre la couronne. … la condamnée fut enfermé … dans un temple en construction, près du village de Sepsaï !! Ça y est, j’ai trouvé ! Alors ce temple … c’est une prison ? … Mais pourquoi ce temple ? qu’est ce qu’il avait de particulier ? Et, qui était cette femme ?
Le prince, lisant avec grand intérêt le parchemin, voulait en savoir plus. Plus sur cette femme, sur les raisons de son emprisonnement, qui, même pour l’époque, il y à 1000 ans, semblait être une peine des plus cruel. Aussi il commençait à lire les autres parchemins et finissait par y trouver un nom. Sitra.
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