une Ombre aux Trousses
Malaxer de la substance.
Tel est mon sens.
Le Makhine en tatout.
Jamais ne s’éteint.
Toujours prêt à tout.
Pourquoi si serein.
Parce que nous sommes nous.
Je tellurise quelque sismique, encore et toujours, car c’est par ces millénaires détournés que je fréquente ma tournée du mardi soir, le facteur passera avec le marchant de sable pour les amoureux de la routine du bras à bras. C’est ainsi que je le vois mais une ombre se profile. Aux trousses de soins un accessoire inutile. Mais indispensable contre la bêtise humaine.
Je ne sais ce que je raconte, j’aurais aimé que voulu. C’est en embrasant un grenouille que mon flow s’est arrêté de battre pour moi. Je pourrais dormir batracien mais ce n’est pas mon genre alors je pourcentage et j’excrémente la figuration de mes auréoles planantes. Gésier en profite pour gratiner ma salade, je nourris quelque ambition culinaire vis-à-vis de ma restauration. Auriez-vous des perdrix jaunes au pavot des îles mariné dans le lait de trèfle ?
Je n’aime ni.
Guère plus que pourquoi.
Mais j’aurais ce souhait dans l’instantané si je n’avais posé ces quelques délires enrubannés. Huit est ce chiffre que j’attendais ou pas.
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