Naissance d'un machin
Alterner girouette.
Médusant un vent d’irrépressible, je suis seul.
D’où fuis-je le représentant de ma descendance plus que l’altérité de Sronce, Libigre, Solicore et Vartantique ? Je veux être unique.
Les millénaires de mon obsolescence sans cesse renouvelée. Admettent que je ne suis qu’un point qui ne comprend plus le temps. Si tant est que la vision qu’on tenta de me partager fut bonne. Et que la mienne put un jour s’inscrire dans une réalité à rebours. Dimension suspendue.
Nous marchons dans des systèmes biologiques qui me sont étrangers. L’atmosphère diffuse des tonalités qui me sont inconnues en ces lieux. Plus rien n’est comme avant, si ce n’est peut-être le souvenir. La place qu’évoque mutuellement à nous une planète commune.
Je me sens mal ici, mes ambitions ne se retrouvent pas, en dépit de la paix que je compte instaurer, du bonheur que je poursuis, de l’osmose que l’équilibre me demande.
Au secours cortex.
Je suis dans l’adversité.
Mais mon appel à l’aide.
N’est pas totalement désespéré.
Flow me flotte.
Tatout m’a tout.
Entier.
Est mon destin.
Délibérément et consciemment.
Un transit d’information que la matière porte elle-même.
Le Makhine aurait soufflé je lui suis impersonnellement identifié.
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