un Vent de Partir
Il me dit de répondre la paix.
Que cela veut dire.
Que j’aurais voulu.
Mais si jamais un jour, quelque part, pourquoi partout, sans jamais s’immiscer dans une réalité, il y aurait des aspirations contraire à la vie. Alors que pourtant sans questionnement, l’effort synthétise un traumatisme qui jamais ne pâlit.
L’humain du futur dans mes veines. D’où que jamais aussi fluidifié. Pacification mortelle, aux détours d’un recoin de ma psyché. Si tant est qu’un projet puisse se télécoder.
Je remarque mes aérations, et les grumeaux qui trainent au fond de l’atmosphère de ma planète. Je suis sur la terre, mais jamais atterris. Au final une retranscription de ma source.
Brandir du papier.
Comme arme blanche.
Au grain rugueux.
Je rattrape le passé.
Lorsqu’il me fait délirer. C’est pourquoi. Je concatène. Les secondes. De mon éternité. Sans même le contrôler. Car le temps n’a de prise que sur un tapis déroulant les dimensions inconnues d’une science obscure et non officielle. Larguée parmi les objets métaphysiques. Pour l’instant dans mon univers préhistorique. La vérité avance avec le temps. Mais emprunte des chemins filandreux. Les embranchements se téléscopent. Pourquoi jamais faute de frappe. Parce que tests limbiques.
Attention...
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