Délic
… à la suite.
Commencer l’assise par fondu chromatique. Poser des fesses bibliothèques. Sur un terrain abandonné. Je ne sais comment maîtriser, alors je laisse couler. Ténébrer dans mes profondeurs.
Délictueux.
Antivie sponsonrise la mort, je mise car j’assiste à ma plénitude inquiète. Les compères à bord. Et moi qui vais remonter.
Après une balade anthropomorphique, je réalise que l’effusion de mes structures aurait un côté hermétique. Je m’insurge. Contre moi-même. Ne puis-je être en accord ?
Délicieux.
Goût amer accroché aux buccales.
Déclic. Photographique.
Mordillant de froid une absence de monde matériel. Il n’y a pas d’objets, pas d’ancrage au réel. Car la mort nous détruit tous. Sauf eux. Sauf moi. Sauf nous et ces poisons.
Délicats.
Beaucoup trop pour l’agressivité d’un sauvage atypique. Pliage origami. Nous sommes en quelques sortes déjà dit. Mais jamais répété. Alors pourquoi recenser les occurrences ?
Si ce n’est pour synthétiser englober. Le tout.
Ablation.
Du cortex sans adéquation.
J’imaginais quelque chose de plus dense. Mais l’étirement viendrait reposer mon neurone. Opuscule. Labourant jusqu’à la mort. Tu tombes, inerte. Réponse à la frappe de faute. Je code par éparpillement. Alors le Makhine n’a qu’à rassembler les pièces du puzzle.
Et le détruire.
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