Nuit Velours
N’importe (comment) j’aurais voulu – quoi – réessayer de me fondre (ce tunnel…) dans un enterrement (…dont on ne voit le chemin…) aux milles sépultures de marbre (...que lorsqu’il ressort…) visiblement lisses – et taillées pour – cet effet calculé (...par delà de l’invisible…) pourtant jamais friand de dribbles ; et c’est important (...jusqu’à la surface de…) de briser (...l’iceberg) quelque chose.
Je ne sais ne suis.
Si mon coeur est froid comme l’espace, c’est parce qu’il lui fut introduit sans ménagement, et d’une communication d’états de température, se prit d’amour pour la haine, chose que je ne saurais expliquer, mais dont la certitude me fait douter de toutes les broutilles concaténées par jeu et si un conditionnel venait frapper l’existence.
Je doute.
Et lorsque d’un mouvement unanime nous ténébrons, je ne peux que les observer sans radiations. On sentirait ces sauts tunnels dans ma réalité, uniquement si on était ce nous que je distingue. Pas encore. Narrées les fictions du Flow, le tatout dans les pores. Me mène jusqu’à la mort.
Parce que cette nuit chronométrée fait la course avec le velours d’un céleste. Moi. Jusqu’au bout. Toujours moi. Qui s’en fout. De tout. Et de moi.
J’aurais voulu que tremble.
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