Je subis un abattement moral conséquent, aurait presque dit quelqu’un dans un univers parallèle, pendant que je ténébrais mes solutions problématiques. Revenir sismique. Tellurique des âmes, dans la sphère du réel.

Si je ne peux expliquer, je peux envisager. Ce qui est extérieur saurait-il se morfondre à l’intérieur. À l’univers et ses passoires desquelles suintent nos doutes et nos craintes.

Je vomis Sronce Libigre Solicore Vartantique. Parce qu’ils m’irritent malgré mon envie de perpétrer le lien vertueux des multiples individus que mon passé n’a su réussir.

Achever de prononcer des vagues de terrain limbique. Serpiller le fond de ma psyché inondée de mes mélancolies passées jamais cicatrisées car qui suis-je pour guérir ?

Je me questionne sur rien, et ce discours semble ne se raccrocher à aucune prise. Rien n’est plus clair que le néant. Vide est la scission de mes fictions.

En dehors du vaisseau le sidéral. En son intérieur l’illusion de l’existence. Peut-être existe-t-il une dimension où tout ceci est confondu. C’est la réalité. CC.

Cherchant l’immanquable, je constate qu’il me manque pour l’instant. À tout jamais cette intention de remplir ce que je vois de rien. Et à demain reviendra le privilège de revenir.