J'aise balèze à la fraise
Inconscient tacite en strates illicites.
Il marque le temps le Makhine.
Jamais je saurais ce qui arrêta j’aurais voulu.
Des capsules de plus en plus visibles, qui trainent dans l’absolu de l’inaccessible, mais se rapprochent du convenu. Je tellurise une apocalypse pandore, c’est ça que j’adore quand mes rêves que je dors ont quelque chose de dehors. Dedans ma tête, dingue de sismique arbalète. Que manqué-je d’explicite entre mes points. Des choses à relier d’après réalité. Dans la réalité. Embonpoint de mes circonvolutions physiques, je ne peux que creuser ma tombe en dehors du cimetière.
Dimension métaphysique. Jamais dans le réel.
Offrande à mes divinités chassées des cécités intrinsèques à l’univers, je cherche à régler la galère. Des mots imbriqués par quelle sérénité. Je questionne sans point citer. Des identités téléscopées lorsque je clone mes protégées.
Don de soi et du monde à un monde à soi pour que se compte la loi que j’escompte faire valoir. Jusqu’où vais-je prendre conscience de mes questionnements ? Dans un sens, je préférerais l’absence de ces tourments. Mais comme présence ils ont aussi quelque chose de rassurant.
Plus que la plus-value mon implication se rajoute par addition.
Addiction.
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