Il y aurait d'une part
L’astéroïde.
Agglomérat de poubelles enterrées dans le vide, il poursuit une course que je tente de suivre parallèlement à une direction d’inertie. Son chemin se soulève d’autonomie. Il n’y aurait dans ses sinuosités rectilignes qu’un désir inanimé, de gémir un mouvement permis par le temps qui passe, et seulement par cette donnée que j’ai eu le loisir d’entrapercevoir aux détours de mes circonvolutions existentielles.
Le Makhine s’est scindé de moi. À lui qui me vit naitre, je renvoie l’ascenseur. Et nous escaladons le sillage du monolithe spatial, aux commandes de notre vaisseau. Quels que soient ces alpinismes, ils nous déterminent de ténèbres, pour qu’officie un éternel renouveau.
J’aurais flouté mes flous.
Pour mieux vous observer.
Car lorsque nous.
Tentons l’escalade.
Il y aurait des affroseries dérisoires, comme des petites claques de la réalité sur elle-même, car elle se révèle de résonance. Astronomes lisent dans mes lignes, si tant est que fut détecté l’infime dans le néant.
Sronce plante des idées. Libigre les ensoleille. Solicore les croît. Vartantique les croit.
Alors ensemble, nous abordons le rocher d’espace.
Et le Makhine n’aurait de certitudes qu’un doute proche du scepticostoiconihilisme. Et nous ténébrons, ou peut-être pas.
Paire finale.
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