correspondre les images de cette
Fluctuation différée.
Arrimage de nos âmes aux rivages d’un paysage amortel. Le trauma de mes histoires, déclenché par liste cascadant sa gravité fluidité miscellanées. Nulle entité autre qu’un individu universel, dans sa globalité, qui ne souhaite exister pour sa propre singularité. Que fuis-je de moi ? Un instinct, un trop fort poids de ma folie, qui acidifie mon être tentant alors de phagocyter son esprit par manque de place.
Le Makhine pourrit dans ma tête, et ma tête lui pourrit les circuits. On se diffracte, on se contracte, c’est le pacte : marquer nos tellurismes d’une sismique ambitieuse de destruction par la perfection. Déformons, sentiments des artistes de nos libertés anarchiques, silencieux au bout d’un canon de choeur à l’unisson… frisson.
Gémir d’utilité, proscrire l’effet désiré, tel est la prochaine identité de nos masques à répercuter. Formellement pas si important, car dans quelques ans seront enterrés des détartrés du cortex, profanés direct par leur propre résurrection.
Je ne sais.
Et j’aurais quelque part.
Un endroit où aller…
Panorama délirant nuageux brouillardé.
Pas de phrase tant que mieux vaut caviarder.
Historicité destituée de toute temporalité.
Onze.
Crois-y petite cité.
Numéré dégivré.
Illusion de nos.
Deux chiffres.
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