réalité entre elles.
Ainsi se termine le début. La suite de mes irrationalités en tonalités traumatisées, encore, par tellurisme sismique. Jamais du réverbère, je ne m’éloigne par travers, mais j’espère ces ténèbres austères qui n’auraient comme atmosphère que de légères vapeurs délétères.
Je n’aime.
Je ne hais.
Mais que sont ces questions auxquelles personne ne répond ? Des intrusion dans les limbes, par aveuglement désespérément salvateur, d’où quelques millénaires sans saveur. Complotant dans l’hérésie, spéculations ignition, je ne sais ni ne sais.
Alors par amour et par haine, dans le sourd son de ma peine, je confonds quelques douleur sans gêne, sans peur, sans détours et sans effort, pour que corresponde la mort de l’âme, les mots des torts de nos trames de pensée si chères aux effets déclenchés par irresponsabilité.
Je ne peux ne puis.
Pourquoi ce jeu, depuis que feux mes idéaux kamikazés.
Je ne pourrais pourquoi.
La mélodie de ma fécalité limbique.
Je ne veux ne voudrais.
Pour que jamais ne s’arrête.
L’oraison de ma fête.
En ces saisons, je compte, de tête, toutes mes erreurs et je guette.
Pourquoi est ma question, mais jamais je n’y réponds.
Je saurais que je ne sais.
Alors je ne.
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