LEB
La ténèbre.
Sans contexte jamais pourquoi s’il fut des congestions pourquoi jongler quand fit subir rien ni personne jamais comprends désirer faminer j’amène des faramineux fistulaires comme jamais je ne peux pourquoi taire quand je peux flair sirupeux correspondance épileptique d’aseptique protozoaire.
Mais je ne peux d’où ce vent de mirabelle parce que je me rappelle d’elle et que quand c’est tout fait que j’aime si jamais je ne sais ne rien veut.
Ouatte dans les oreilles pour rien entendre de pareil à l’oseille de mes orteils. Je suis dans cette quoi ?
Celle.
Scelle à tout jamais car pourquoi quand ceci cela j’hémoragise mes sysmyques avec un nigrec.
J’aurais voulu inventer mes pensées hélas mes mots sont mesurés.
N’y comprenez-vous rien à cette prison labyrinthique qui vous mène sur des chemins illusoires ?
Je ne sais ne sais.
Pourquoi si tant est que fussent mes telluriques, l’oraison n’aurait de raison que la scission de ma fiction juste à l’instant d’une seconde passée dans la chronologie de ma pensée.
Le Makhine m’affrète.
Quelle requête ?
Je ne concatène pas que mes idéèmes, je suis quelque part entre l’espace et le temps où il n’y a d’explication que ces mots.
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