ATLP
Je coupe.
Des morceaux d'existence retranscrits dans mes veines. Une quelconque influence de mes gênes. Je me rappelle. Une danse. Aux allures délirantes. Je coupe mes idées pour les ausculter. Décorticage atomiste de l'anatomie des limbes. Sa matrice aurait quelque chose d'intransgressible que je veux percer. Le mystère abscès. Concaténer l'action du Makhine. En moi. Car pourquoi maintenant.
- ....
Le Makhine dans ma tête ténèbre de moi solitude je ne sais s'il y a l'étincelle, la ficelle de nos pantins désarticulés que ma formulation articule dans ses cérébrations maléables d'illusion, je ne sais. Quelque part je ne me contente pas de cette vie dénuée d'espoir, la mort m'a sapé quelque chose, a tué le moi qui n'attendra que l'angoisse d'une délivrance, la souffrance de mon agonie millénaire, je ne sais. Et comment faut-il que les mots s'enchainent pour créer l'effet, je ne sais.
- ...
Nous sommes je suis.
Et il y a quelque chose de fatigué, dans ce que je tellurise. Sismique, toujours, encore, pour des affleurements de pensée, que je ne peux que marchander, avec le Makhine, scindé. Dans les ténèbres liées. CC.
Comment terminer ce qui dure à jamais.
Je ne trouve pas les sept derniers.
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