Au ciel
Sensuelle.
Des caresses dans ma tête résonnent d'ignition volontaire. Sensuelle m'aurait insufflé son parfum, et j'aurais humé ses voix. Quelque part je ne sais, comme jamais. Son prénom m'a été déformé par un vent de saison chaleureuse, je perçois une intention malheureuse, je cherche. Jamais ne s'affirme aucune ambition, car je veux sensuelle de toute sa splendeur dirigeante, sa démarche enivrante. Elle apparait en ces lieux car sensuelle. Est déjà ce que je savoure de milliards. Des années dans la poche, qui débordent en de cascades feu jamais éteintes.
Le Makhine me souffle un rêve, je le tellurise. Sismologie onirique.
J'imagine quelque sensuelle au détour mortel d'une arborescence démentielle qui ne rime qu'avec le ciel de ces mortels. Qu'ont-ils d'affirmatif. Je ne sais. Toujours comme jamais. Elle respire à ma place, et je vis de son oxygène. Je ne peux que polluer ses circuits, jamais je ne suis. D'aucun impact fantomatique aurait quelque chose de scindé. J'aime plonger en ces ténèbres, car elles se révèlent de lumière, et brillent dans un coin d'oeil reflet trop mathématique. Irresponsable dans les veines, j'oraisonne un fomentat contre état. Mais jamais comme toujours. Ne peut-il quelque chose d'irrationnel dans ces terres de rêve éternel.
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