Hiver univers
Léthargie elle s'élargit.
J'agis, je poursuis. Le Makhine m'aurait soufflé un territoire affligeant, dans les limbes de mes barreaux prisonniers, je concatène l'illusion, l'irrationnel, l'émotionnel, à la recherche de quoi ? D'une réalité aux modèles prédéterminés. Je ne veux pas l'affirmer consciemment. Je ne peux que le proncer irrationnellement.
Alors d'un côté, et de l'autre.
Jamais vraiment réconciliés, mais pas tout-à-fait fachés. Dans l'espoir d'un renouveau déliré, on aurait apporté nos neurologies traumatisées, mais non, il vaut mieux se fermer. Car qu'est-ce que ces choses sinon un instinct personnel à ne pas trop sortir de solipsime.
Nous aurions fait quelques absurdités.
Raccroché de téléportation.
Dans l'univers, perdu entre deux galaxies, j'espère que la tension de mes âmes transies n'aura que d'illusion la sensation de perdition. Car c'est tellement beau de ténébrer, comme me l'aurait soufflé une conscience de mes entités.
Mot moi.
Demain je volerai.
Aujourd'hui j'erre en dimensions.
Et hier.
Dans les talons.
Profusion de mes irruptions, je lave et vole quand arrive le temps.
D'habitude.
Quelques irraisons dans ma maison dérivante.
Laboratoire tellurique.
Ceci sismise ma peine.
J'idéalise un phénomène irréalisable.
Donc j'enfreins la règle immuable.
À condition que soient révélées mes ambitions.
Ne rien désirer.
Quelque chose.
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