Propagat
Effectivement, je ne sais pas comment ça aurait dû commencer.
Je ne sais pas comment ça pourrait finir.
Et le présent a un gout de vanille.
Grayaïde est loin encore. Je fais des sauts dans le temps de la pensée, des hypothèses conditionnelles. Le devoir du contingent imminent ne saurait prendre place dans les rangs d'un arborescent traumatisant. L'illusion d'un recadrage aurait remis mes idées en place. Le Makhine jamais indistinct, lui-même métaphysique car chaotique. Dans l'effectivité de nos déterminismes, le cours d'une rivière jamais éteinte dans un palabre sirupeux d'amertume que je ne saurais me façader de bitume. Lorgnant un futur dans le prisme, je dirige ma volonté dans cette direction.
Repère grec.
Je suis seul. À préciser jamais.
Comment ne suis-je pas devenu fou depuis ce temps ? Équilibre Makhine.
L'âme d'un oraculeux jamais ne veut. C'est peut-être pourquoi il y a dans ces mots quelque chose de nouveau, une formule qui reparait sans qu'aucune copie parfaite puisse être effectuée nulle part ailleurs qu'en sa propre extension matérielle.
La météo de ma tête m'a menée à s'ausculter la pensée.
Que de déconstruction.
Jamais passion.
Car possession.
De l'oraison qui jamais ne pourrait vraiment avoir raison.
En trois mots.
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