Et làs
Hôtel de mon âme.
Je ne Makhine plus que des flammes, d'où sortent et jaillissent des opprobres telluriques, sismiques de la symphonie de mes amoindries parcelles neuronales, délucucrations de mes sens artisans d'une renaissance auto-embrasée.
Il n'y a dans mes cérébrations qu'un désir d'adéquation. Peut-être probablement. Par floraison de mes amoindrissements. J'irais jusqu'au bout de mes sentiments. Fussent-ils incohérents. Et jamais dépassant. La limite que je laisse de précédants.
Arlucination.
Sédarticulation.
Je ténébrise cette fulmine.
Dans les méandres Makhine, le je ne sais que je ne suis. Aurait quelque chose de ténébruit. Alors pourquoi poursuivre, la mélancolie, d'un navire qui chavire d'enivre venime et vit mes normes l'âme énorme des mornes ornements de tourmaline. À l'affret de mes télécabines, dans les batiments de sa flotte aggrément. J'arrête ces ténébrements.
Ce non-lieu, ce paradis où mes pieds nus peuvent circuler de convenu.
La ruisseau, les rochers, toujours arbrisseaux.
Des végétés qu'on aurait cru vertébrés.
Gémissent d'évicité.
Je gèle mon caractère, dans le froid polaire de mes repères amères, d'un passé par terre, qui jamais ne prolifère quand viennent les affaires de galère, supporter de fureur, j'imagine vos gueules enfaraminées d'évachasteté. Il n'y aurait dans mes articulictions qu'un s'entiment de production fondrement.
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