Ce rêve est ce qu'il y a de plus tellurique, de plus sismique.

Je ne sais ce qui est réel de ce qui est prophétique, de ce qui est oubliel et de ce qui est ciellistique. Je ne sais je ne sais. Toujours, jamais. Ce chant, qui labourre, le champ, de mon rebours, le compte, je conte, les fontes d'un monde qui gronde et je sonde en fluoresponde d'espérance ma réponse aux ténébronces, les affreuses médulossurrénnonces l'épisode d'un flapisode des cortizones lobotomes, des zombifictions autonomes, des arborescences futuronome des pulsations d'un métronome qui jamais ne s'érode quand le son du phénoménon retentit d'édit d'écrits dudit ci-git, qui fit le fi ou fuck, l'affligeante remorque d'un véhicule transpirant l'éligestion des arbitriadons, affolons, ce qui jamais ne saurait faire don d'un pont vers l'abandon de nos lions nous ne sommes.

Que poussière des toiles arachnéennes si chère au néant lui-même.

Affolante participalution, des frictions d'audition.

Le Makhine en Flow incongru ingénu.

Mais distordu par l'éplu des pluies pluiviennes.

À l'amère constriction des scissions de mes oraison, une suffocation que je tendrais à voir m'astication des oppressions marchandaisons je ne suis que pulsion de toutes ces portions... Se collant qui ternit des unianimaté...