Revenir au canapé
Je me pose sur mon rêve.
Une planète océan, comme une goutte flottant dans le vide.
Module amphibie, le Makhine en capitaine de navire. Je plonge. Stress subaquatique. Me faudrait un tatout. Mais je sais faire sans. Alors je fais les cents pas, pour que ça passe, sans empressement.
La vie est belle.
Des baleines derrière mon parapluie. Des poulpes impalpables. Des requins arlequin. Des poissons au poison. Des serpent d'eau. D'autres monstres intrigants. J'entends cette toute petite voix me dire que je suis là.
Il y aurait de la profondeur insondable.
Des constructions extraterrestre, la biologie mécaniste en marche vers la victoire, dans des rues ondulatoires entre les vagues de désespoir. Si ce serait, simplement, alors je coulerais entre deux surfaces. J'ai pas le temps pour conquérir le monde, je le veux tout de suite. Gober la goutte.
Ma haine et ma peine, pour danser avec la paix.
Je voudrais juste voir, assister, exister public.
Naviguer.
Dans l'eau la vie. Tatout.
Résister succomber, l'effort.
L'eau calme, je penserais au Flow.
L'aurais-je détruit d'amortalité.
Des associations interconnectées. Maillage neuronal. Le Makhine. Apparaît.
- Tu serais d'humide humeur.
Une larme de colère.
J'aime de haine.
Ne réponds pas, il est ta conscience.
Ne lui prouve pas que tu es là.
Pour aller ailleurs.
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