Ma stupide intelligence.

En arc-en-ciel.

Éclaté aux six coins du firmament.

Le dernier né de mes soucis, repris d’ascendance en stimulation cardiaque. Stress tellurique, les courants pseudo-magnétiques de l’espace infini. J’aurais aimé être moi-même, dans ce film avec des lettres à la places des vignettes. Pellicule de givre, m’enivre, se livre à mes oreilles limbiques.

Qu’est-ce que cette intelligence ? Un mot ? Une réalité ? Je ne sais que croire, mais je crois. Je ne crois que savoir soit savoir. Je peux que constater l’émergence d’un trouble systémique, une erreur de syntaxe dans l’ADN. De l’humain.

Tatout respire cutané.

Je transpire l’effort inné.

Je transmet le pire des effets. Mielleux.

Comment accepter ?

Suffit de signer.

Apposer un sceau d’accord, en opposition à déni de fuite si cher aux peaux lisses de toute cicatrice. Dans le vaisseau, le Makhine décide du retour aux sources. J’écoute sa psychanalyse, et je n’y comprends rien.

J’aurais voulu renier, mais je ne peux maintenant.

Plus.

Censure s’assure de sécurité, si bien taillées.

Ambiguïté ?

Ne cherche pas, prends les deux, vaut mielleux.