Sans doute la passion la plus dévorante de toutes, celle qui anime mon cœur d’une turbulence sismique dont la résonance affecte avec les dégâts les plus sincères, mon âme perturbée par la perfection de ses effets.

Je la cherche.

Ne la trouve.

C’est elle qui me tombe dessus ; douloureusement.

Une attirance magnétique, tellement terroriste que ma population s’affole d’une crainte par rapport à la mort de mon esprit ; arrêt cardiaque.

Flamboiement ignifuge.

Noyade étanche.

Asphyxie aérée.

Entre deux extrêmes nous balancerions d’irresponsabilité ; mais que font nos polices ? L’hypothèse, fruit d’une recherche méticuleuse, une enquête de rien du tout, sur rien du tout.

Je chavire.

Interrompre l’abcès. Je calcule plus rien. Pas de plan, sinon celui qui me laisse flotter sur le courant. Flow.

Elle et lui.

Démembrés de réalité.

Amputer l’esprit, c’est revêtir la toge de la liberté, et brandir la bougie d’une foi qui n’aurait pas à se justifier ; juste imager abstraitement un traitement caractériel jouant sur son.

Tableau.

L’interminable effort ; l’âme amortelle.

Je ne sais où je suis. Limbique.

Défragmentation.

Dérisoire.

Désolé.

Pénalité d’instabilité.

Psychiquement.

Allègrement.

D’inutilité publique.

Quand je suis seul, et que je pense.

D’amour je nais et meure.