Voyage.

Aspiration tellurique me menant à des complexes de mots assassins car carrés carrément saillant, sans prises ; car il n’y a plus de convoitise. J’explique le processus des imbrications de base. Association de pairs ; de triples ; ainsi de suite.

Voyage, c’est entasser dans le Makhine.

Pas pour moi si la mémoire contamine.

Si l’espoir détermine un devoir aspirine.

Je m’essore dans la piscine.

Vantartique.

A tous ceux qui ne sont pas là. Comme moi. Faites le pas.

Arrêté pour complot contre le Makhine. Je suis enfermé avec lui.

Cérébrer ténébrer.

- Les synapses…

- Tais-toi le Makhine.

- ...sont tellement...

- Makhettiste.

- Je m’étouffe.

Ça veut rien dire. Alors je meure.

De mort.

Létale.

Rebondir.

Sur le.

Trop plein de lumière ; le miroir aveugle ; nous serions.

Injection mathématique par sens, triste sort de l’absence, l’essor ascensionnel révèle par l’apocalypse une renaissance intérieure, comme un bonus de l’inconscient au-delà des tourments. Jamais je n’aurais aimé qu’il faille pleuvoir pour pousser. Larvoïdes, dites-moi quelle vie il y a à la pile infinie.

Plus que.

Dérisoire.

N’aurait à.

Se rasseoir.