Forêt mécanique
Tatout.
Où tâter de la psyché en blocs de pure. Jamais ô jamais. Sinécure. L’allure d’un crépuscule à l’opuscule où copulent les copules. Prédicat dans ton caca, prédit d’avance avant tout autre orifice. Le lien fait office d’apocalypse, peut-être. Je ne crois pas.
Dans les faits.
Sur le Flow, ce radeau.
Je radote, comme une bigote. Mais j’évolue, comme Jésus. Je me bats, comme Judas. Et Lucifer pourra m’emporter au paradis. Jamais je ne serais le messie. Si j’étais pas.
Le dernier humain des millions d’années.
Le dernier représentant d’un autre temps.
Le Makhine dans ma vie.
Aurait vite compris.
Toujours les mêmes questions, toujours les mêmes réponses. Le système de Sronce… terrible Libigre dans un livre… Solicore et Vantartique…
Le fin fond de l’océan limbique d’un univers cérébré. Encapsulé dans la réalité. Que je cherche. Jusqu’où vais-je ?
Une pierre qui roule n’aurait pas conscience de ses déterminismes. Voilà qui fut et qui sera. Ou pas.
Vers quoi, jusqu’où ?
Tellement crevé d’impatience, de se retrouver sous la lampe, mais jamais n’ose espérer. Tel est le quotidien du cérébré enterré célébré. Valoriser l’inconnu, quoiqu’au final…
Je recompte.
C’est copié collé tel qu’il s’offre. Le Makhine en coffre fort.
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