Vendredi 10 mai 2019
Si l'écriture est l'air qui remplit mes poumons ; la musique, elle, est la nourriture de mon âme. Vraiment, je ne pourrais pas vivre sans musique. Elle me soutient quand je suis triste, me calme quand je suis anxieuse, me renforce quand je me sens bien. Et je n'en ai jamais assez.
Avec mes goûts éclectiques, je peux passer du "Canon de Pachelbel" ou à "Attentat II" d'IAM avec le même enthousiasme. Neuves ou anciennes, j'aime les découvrir ou les redécouvrir, les écouter en boucles, apprendre les paroles par coeur, les chantonner doucement ou les hurler à haute-voix.
Muse, Goldman, Mozart, Scorpion, Bieber, Imagine Dragon, Evanescence, Rick Astley, Coldplay, Chainsmokers ou Taylor Swift. Parfois ce sont les paroles que j'aime, parfois la mélodie, parfois les deux. J'estime qu'il n'y a pas de plaisir coupable en musique. Belle ou nunuche, j'assume totalement chacune des chansons que j'aime.
Je ne connais pas de meilleurs boosteur de moral que de chanter à tue-tête sans se soucier du monde alentour. Et que dire du plaisir jouissif de découvrir et de chanter une nouvelle chanson avec des paroles qui semblent avoir été écrite pour ma situation et que j'adorerais pouvoir jeter à la figure de Gaston.
You say you're sorry
But it's too late now
So save it, get gone, shut up.
'Cause if you think
I care about you now
Well boy, I don't give a fuck
IDGAF, Dua Lipa
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