Chapitre 3
- Non, non, je ne peux pas. Je tromperai Maxence.
- Sucer n’est pas tromper dit Marie tout souriante. De toute façon, votre mari vous trompe également. Mais c’est vous qui décidez. Mais si vous voulez essayer, c’est maintenant. Ce préliminaire va vous permettre de lâcher prise, vous mettre en condition et également votre mari.
- Je ne sais pas. Je ne me sens pas prête là.
- Ok, alors continuons la suite.
Marie enleva sa culotte et demanda à Victor de s’allonger complètement sur le lit.
- Je veux bien essayer, dis une voix toute timide dans un chuchotement.
Marie tourna sa tête. C’était Elisabeth.
- Alors venez prendre ma place, lui dit Marie, toute souriante.
Victor se remit au bord du lit, pris un morceau de drap et essuya toute la bave restante et luisante sur sa bite.
- Mettez vous à genoux Elisabeth, saisissez le sexe de Victor par le bas, pour bien faire ressortir son gland et commençait à lui donner des coups de langue dessus.
Elisabeth suivi les consignes de Marie. Elle posa sa langue timidement sur le prépuce. Une goute de liquide pré-séminal perlée, elle sentit immédiatement un gout salé. Dans sa main, la bite de Victor était dure, mais elle la serra davantage, pour limiter l’afflux sanguin et faire gonfler le gland davantage. Elle le mit dans bouche et aspira. Puis elle poussa davantage la queue vers le fond de sa gorge. Elle ressentait l’excitation de Victor.
- Elisabeth, mettez vous accroupie. demanda Marie.
Elisabeth, gardant la bite de Victor dans sa bouche, prit appui avec sa main et passa de la position sur les genoux à accroupi. Elle sentit soudain une main toucher sa culotte.
- Vous êtes trempés Elisabeth remarqua Marie. Laissez vous couler.
Elisabeth sentit Marie descendre sa culotte jusqu’à ses pieds. Elle sentit sa chatte à l’air sous sa robe qui s’ouvrit davantage, ses lèvres qui perlaient puis la main de Marie la caressa de nouveau, étalant toute sa mouille dans son entre-jambes.
- Continuez Elizsabeth, lâchez vous. Sucez la queue de mon mari, sucez, bouffez là, mangez là, libérez-vous.
Dégoulinant, Elisabeth accentuant ses vas-vient, elle voulait le faire éjaculer, elle voulait son sperme, elle voulait le sentir, le manger, elle voulait faire sa pute. Tenant toujours la bite de Victor de sa main droite, elle utilisa sa main gauche pour prendre les couilles et commença à les malaxer. Elle les sentait pleines. Elle voulait les vider. Elle voulait le jus. Elle voulait le pouvoir.
Victor regarda Elisabeth s’affairer sur son sexe. Elle y mettait toute sa bouche. Elle lui massait les couilles, et montrer une envie et un appétit à prendre sa bite entre ses lèvres qui l’excitait au plus point. Et à un point, où il repoussa la tête d’Elisabeth.
- Attendez, faut ralentir un peu sinon je vais éjaculer dit Victor la voix légèrement tremblante.
- J’ai envie, j’ai envie de votre sperme, dit Elisabeth regardant Victor, la bouche baveuse et avec un regard humide.
- Attendez Elisabeth, nous n’avons pas fini. Nous sommes juste aux préliminaires lui répondit Marie.
- Non, j’ai envie. J’ai envie de finir. Je veux son sperme. Je veux le sentir. Je veux sa jouissance.
Marie regarda Victor. Dans un regard, ils acquiescèrent entre eux.
- Ok dit Marie. Allez-y. Bouffez sa bite et prenez tout son foutre.
Marie passa derrière Victor, enroula les bras autour de son mari, posa sa joue contre lui et ils regardèrent ensemble Elisabeth enfourner de nouveau la bite.
Sa queue dans sa bouche, elle le branlait, elle voulait sa jouissance, elle se sentait cochonne, salope, mais toute puissante. Elle voulait le sentir, lui bouffer les entrailles soudain elle sentit sa bite émettre une contraction.
- Je vais jouir, dit simplement Victor.
Il lâcha son foutre au fond de la gorge d’Elisabeth qui émit un soubresaut, surprise par la force du jet, mais elle tenu bon, elle garda sa queue sa bouche pour les jets suivants. Elle le regardait. Il la regardait. Marie regardait Elisabeth recevoir toute la jouissance de son mari. Dans son instinct animal, elle eu envie d’intervenir pour maintenir la tête d’Elisabeth et s’assurer qu’elle n’allait pas se retirer tant que son mari n’avait pas fini de vider ses couilles en elle, mais elle se ravisa. Elle garda sa lucidité dans toute cette excitation car ce que faisait Elisabeth était tout à fait exceptionnel. Puis elle l’a regarda retiré enfin la queue de son mari de sa bouche, du sperme dégoulinait du coin de ses lèvres.
- J’ai tout avalé. s’excusa Elisabeth.
- Vous avez été parfaite dit Marie, je dirais même incroyable. Un lâcher prise total. Vous vous êtes complètement dépassé.
Elle descendit du lit, s’approcha d’Elisabeth, saisit son visage et passa délicatement sa langue sur les restes de sperme sur son visage.
- Voilà comme ça, vous êtes plus présentable, se marra Marie.
Elisabeth répondit à Marie par un rire maitrisé, mais elle était heureuse de ce qu’elle venait de faire. Elle ressentait une nouvelle grande confiance en elle.
- Je vous laisse retourner dans le cabinet, nous vous rejoignons dit Marie.
Elisabeth se releva, remonta sa culotte et pris sortie de la chambre. Marie embrassa Victor essuyant sa main le sperme restant sur son sexe qui avait maintenant débandé.
- Allons-y lui chuchota-elle.
Tous les trois se retrouvèrent de nouveau à leurs places dans le cabinet.
- Bon, Elisabeth, nous ne sommes pas allés jusqu’au bout de la séance mais je crois que ces préliminaires furent une entrée en matière.
- Tout à fait, répondit Elisabeth encore un peu sur la réserve. Je me sens davantage prête à baiser mon mari.
Marie sourit.
- Vous avez été parfaite Elisabeth dit Victor, pour une première fois, ce fut exceptionnel. Je peux vous garantir que votre mari va être très agréablement surpris.
- Merci Victor répondit-elle.
- Voila Elisabeth, vous savez ce qu’il vous reste à faire. Soyez une belle et jolie pute, dit Marie. Pas pour lui mais déjà pour vous. Pour votre bien-être, votre confiance, pour votre plaisir. Et tenez nous au courant.
- Oui, dit Elisabeth se levant de sa chaise, merci à vous deux pour tout. Merci.
Elle serra la main de Marie qui la tira vers elle pour lui faire la bise, Victor posa sur son épaule et l’embrassa sur la joue.
- Soyez vous, soyez heureuse, à bientôt.
- A bientôt, répondit Elisabeth.
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