Chapitre 2
Toc, toc. Quelqu’un frappa.
- Entrez dit Marie.
Victor apparut en costard et s’approche de Marie. Il mit dans la main dans son costume et en sortit son porte monnaie. Il y plongea sa main pour en ressortir une liasse de billets de 20 euros et les tendit à Marie.
- Comme convenu.
- Comme convenu. Merci asseyez vous luit dit Marie en lui indiquant le rebord du lit.
Victor s’assit pendant que Marie se mit à quatre pattes par terre et commença à plonger sa tête entre les cuisses de Victor. Elle frotta ses cheveux contre le sexe de Victor au travers de son pantalon. Victor sentit son sexe se durcir progressivement.
Puis, Marie releva la tête et approcha ses mains du pantalon de Victor. Elle le déboutonna et fit descendre sa braguette jusqu’au bout. Puis elle tira son pantalon le laissant en caleçon au bord du lit.
Elisabeth sentit dans son ventre des palpitations. Elle se sentait devenir excitée. Son souffle commençait à s’accélérer
Marie repassa sa main sur le caleçon de son mari et sentit sa bite se durcir, puis elle baissa son caleçon et engloutit immédiatement sa queue dans sa bouche.
Elisabeth regarda. Un peu médusée mais son souffle s’accéléra. Elle trouva cela beau. Pourtant, elle n’avait jamais sucé son mari. Elle avait toujours trouvé cela sale et ne voulait pas faire penser à son mari qu’elle pouvait être une cochonne. Mais là, voir Marie, avec le sexe gonflé de son mari dans sa bouche et Victor regardant sa femme, les yeux un plus ouvert que d’habitude, elle trouvait cela beau. Et terriblement excitant.
Marie commença des vas-vient avec sa bouche, gobant ce sexe de plus en plus dur. Elle le sentait goulûment. Les veines se gonflaient. Elle ressentait aussi la respiration de Victor. Plus forte. Plus haletante. Victor ne lâchait pas du regard la bouche de Marie, qui enfournait complètement sa bite. Il sentait que cela devenait de plus en plus humide, mouillé. Il sentait son gland tapé au fond de la gorge, et à chaque fois, un nouveau filet de bave venait encore humidifier sa queue. Il sentit cette bave coulé le long de ses couilles, et venir flirté avec son anus. Il saisit la tête de Marie et la poussa encore davantage venant complètement disparaitre sa bite. Dans cette position, il regarda Elisabeth.
Elle n’était plus assise aussi droite qu’au début. Elle commençait à s’avachir dans le fauteuil et ses jambes s’écartaient. Elle s’accrochait davantage de l’accoudoir du fauteuil. Pendant que Victor continuait ses vas-vient de plus en plus rapide avec la bouche de Marie, il esquissa un sourire à Elisabeth en la regardant droit dans les yeux. Elizabeth, gênée, hésita à détourner son regard mais elle continua à observer cette scène obscène qui se déroulait à deux mètres d’elle.
Marie finit par relever sa tête pour reprendre un peu d’air. La bite de Victor était recouverte d’une imposante texture baveuse qui coulait le long de ses testicules et se répandait par terre. Elle mit sa tête en dessous du sexe de Victor, saisit un filet de base avec sa bouche qu’elle aspira bruyamment. Puis elle reprit un autre filet, elle remonta jusqu’à aller gober les couilles de Victor, qu’elle suça, aspira et lécha. La bouche pleine de sa propre bave récupérée, elle cracha sur les couilles de Victor.
Enfin, elle lâcha tout, se redressa et regarda Elisabeth.
- Lâcher prise. Vous serez sa pute mais n’oubliez jamais Elisabeth, c’est vous qui avait le pouvoir. Pas lui.
Elisabeth avait chaud. Très chaud aux joues et partout. Ce qu’elle venait de voir l’avait terriblement excitée. Elle se sentait devenir mouillée. Cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas ressenti cela.
- C’est … beau dit-elle timidement. Le souffle un peu coupé. Un peu gênée. Mais je n’ai jamais sucé mon mari. Jamais. Je ne saurais pas comment faire. Je ….ne sais pas. Je ne sais pas si j’en serais capable.
- Venez essayez alors, dit Marie en présentant la bite dégoulinante de Victor.
Elizabeth la regarda, perturbée par cette proposition. Devait-elle accepter?
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