Chapitre 3

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Martin regarda ce départ un peu précipité stupéfait, ne sachant pas à quoi il allait s’attendre. Il venait d'assister à l'enlévement consenti de sa femme avec un autre homme.

Dans un mélange de trouble et de bouillonnement intérieure, Lucie parcourut la chambre du regard. Elle était simple et dépouillée. Un lit king size. Une chaise. Un grand miroir accroché au mur en face du lit pour le plaisir des yeux et des murs chaleureux d'une couleur Bleu de prusse.

Victor se dirigea vers Lucie, passa sa main délicatement dans ses cheveux et lui susurra: « A partir de maintenant, on va se tutoyer »

- D’accord, répondis timidement Lucie.

- Et à partir de maintenant, tu vas me sucer aussi dit Victor d'un ton plus autoritaire.

- D’accord, répondis de nouveau Lucie.

Elle s’accroupit, enleva la ceinture fixée au pantalon, baissa la braguette et le pantalon. Elle découvrit un beau sexe, rasé. Il est encore pendant. Elle le contempla, puis le saisit entre son pouce et l’index et se le mit dans sa bouche. Il était encore mou dans sa bouche mais rapidement, elle sentit le membre se durcir au jeu de sa langue sur sa peau et de son mouvement va-et-vient pour le branler.

Il la regarda avec sa queue coincée dans sa bouche. Comme sa bite n’était pas encore en pleine érection, elle arrivait encore à l'avaler complément jusqu'à poser son nez contre son pubis. Il la saisit par la tête pour l'accompagner dans son mouvement d'aspiration. Il sentit sa bite commencer à durcir, le flux de sang se répandre dans ses veines, son gland gonfler et remplir pleinement la bouche de Lucie qui devenait de plus en plus serrée.

- Allez, bouffe ma queue.

Lucie sentit cette bite taper contre le fond sa gorge, et sa salive se répandre partout. Elle commençait à lacher-prise mais avait-elle vraiment d'autres choix. Elle sentait son bas du ventre commencer à papilloner et son vagin se lubrifiait naturellement de ses sécrétions vaginales.

Victor retira sa bite luisante de la bouche de Lucie.

- Asseye toi sur le lit.

Elle s’exécuta mécaniquement. Il souleva la jupe de Lucie et constata que sa culotte était bien toute trempée. Il l'écarta légèrement pour y découvrir une jolie chatte aussi luisante que sa bite. Le clitoris gonflée commençait à ressortir. Un vrai petit bourgeon. Avec une forte envie d'y venir le gouter, Victor y apposa sa bouche et commença à l’aspirer. Il glissa délicatement un doigt dans son orifice dont l'ouverture avait ouvert les vannes pour une cyprine de plus en plus crémeuse. Bercée par toutes ces intentions sur son vagin, Lucie sentait monter l'excitation.

"Putain que c'est bon!" Elle avait chaud. Elle était chaude.

Alors, elle se laissa faire, émettant par intermittence un gémissement de plaisir.

Dans la pièce d’à coté, Martin est toujours installé dans son fauteuil.

Avec une certaine fébrilité, il entendait les légers gémissements de sa femme. Cherchant un regard rassurant sur la normalité de cette situation, il jetta un coup d’oeil à Marie, qui lui répondit par un sourire.

- Elle aime ça apparement de votre femme.

- Oui apparement, répondis Martin en rougissant.

- Vous voulez voir?

- Voir quoi?

- Votre femme se faire baiser par mon mari.

- Heu oui.

- Allez, installez-vous sur le rebord le fond du canapé, indiqua Marie.

Marie saisit une télécommande qu'elle dirigea vers, ce qui semblait être, un immense tableau accroché au mur. Il s'alluma pour laisser place à une image trés nette d'une chambre.

Martin décrouvrit Victor, la tête guidait vigoureusement par les main de sa femme dans son entre-jambes qui gémissait à chaque levée et descente du bassin.

Puis il observa Victor relever sa tête, s'essuyer d'un geste de la main de cette cramouille perlant sur son visage et saisir sa femme pour la retourner afin qu’il puisse profiter pleinement de sa croupe. Il glissa un préservatif sur son sexe raide et glissa son gland dans la chatte de Lucie. Elle se cambra légèrement. Puis Victor poussa ton membre qui disparut complément. Lucie laissa échapper un miaulement qui voulait dire « Oh oui, défonces moi ».

Sans attendre, Victor commença à la pilonner. Il monta sur le lit, s'accroupi en s’appuyant sur les fesses sde Lucie et écarta sa raie du cul pour parfaitement contempler sa bite dilater son trou et se blanchir de ses pertes d’excitations.

Cette position rendait encore plus excitant ce que voyait Martin.

Marie, bien qu’habituée à ce genre de situation, pouvait sentir sa culotte légèrement s’humidifier et elle ne pouvait s’empêcher de penser que son mari défonçait parfaitement cette petite cochonne.

Elle était fier de lui.

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