PRISE DE CONTROLE
PRISE DE CONTRÔLE
A la fin de la journée, j'avais osé lui envoyer comme message : "cette fois, c'est moi qui contrôle".
J'aime beaucoup que Enzo me fasse l'amour. Il est entreprenant, me met sur le dos, sur le ventre, je m'offre à lui dans nos ébats. J'aime qu'il me pose sur le lit, me maintienne les poignets pendant que sa bouche parcoure mon corps, qu'il m'appuie la tête sur l'oreiller pendant qu'il pénètre à fond ma chatte offerte en l'air.
Mais ce soir, non. Je brûle déjà de désir quand je le retrouve devant chez moi, son air sûr de lui, adossé au montant de la porte. Il commence à se pencher vers moi pour m'embrasser, mais je ne lui en laisse pas le temps. Je prends le col de sa veste et plaque sa bouche contre la mienne. J'y enfonce ma langue à la recherche de la sienne. Je sens qu'il est déstabilisé. Séparant nos bouches, je le regarde dans les yeux, et lui sors : "aujourd'hui, c'est moi qui te baise !". Ses yeux s'écarquillent de surprise et d'incompréhension. Le col de sa veste est toujours dans ma main, tandis que je déverrouille puis ouvre la porte. Je sens mon bas ventre se préparer.
Je le tire à l'intérieur, le plaque contre le mur et l'embrasse à nouveau en retirant sa veste. Lui m'aide à retirer la mienne. Je lui retire son pull puis passe mes mains sous son t-shirt, caresse ses pectoraux. Ses mains descendent sur mes fesses. Je le repousse d'un coup. Le regarde. "Déshabille-toi !" lui ordonné-je.
Un peu eberlué, il retire son t-shirt, dévoilant son corps que j'ai envie de croquer, mais je me contiens. Ses abdos me font envie. "Et toi ? “ me lance-t-il d'un air provocateur. Mais restant de marbre en apparence, je le somme de continuer. Je déguste le moment où il déboutonne son pantalon, le baisse et le retire. Je vois bien à son boxer qu'il s'impatiente. Ça m'excite de savoir sa bite ne souhaitant qu'être libérée.
Il finit par se retrouver nu devant moi, dans l'entrée, je trouve ça excitant. Son sexe en érection sortant de sa toison tel un pic rocheux d'une forêt vierge, je n'y tiens plus, je m'avance vers lui, prends sa verge en main, fermement, il soupire. Je l'embrasse, puis me recule en prenant le temps de glisser mes doigts sur son membre afin d'en mesurer toute sa longueur. "Tourne toi". Un sourire d'incompréhension mais toutefois complice sur ses lèvres, il s'exécute. J'aime aussi mater son cul. Je lui mets une petite claque sur la fesse droite. Il glousse.
Prenant un foulard à moi sur une patère, je lui bande les yeux. "Que fais tu ?". Je ne réponds pas et lui prends la main pour le guider, nous montons les escaliers. Je me retourne de temps en temps pour admirer son corps et son sexe tendu telle une flèche sur la course de sa cible. Arrivés dans la chambre je l'écroule sur le lit. Il est sur son dos, les yeux bandés. Je mange son corps des yeux. Son sexe se retrouve de tout son long sur son bas ventre, ses testicules pleinement offertes à ma vue. Je n'avais jamais trop regardé, ça donne envie de lui gober.
Tout en matant, je me déshabille à mon tour, lassivement. Sa tête tourne légèrement de droite à gauche alors qu'il écoute le bruit des étoffes glissant sur ma peau et tombant à terre. Je me retrouve nue, devant ce corps à ma merci. Me tenant debout, je me touche les seins, le sexe, je m'enfonce un doigt en regardant et fantasmant sur ce corps. C’est agréablement délicieux de se toucher juste devant l’objet de ses fantasmes. "Tu m'excites" lui dis-je, tout en m'avancant désormais à quatre pattes sur le lit. Mes cheveux détachés caressent ses jambes, puis ses boules et sa verge, son ventre, son torse. Mon visage arrive au dessus du sien. Mon majeur qui m'a visitée peu de temps avant écarte ses lèvres, pénètre sa bouche, "goûte mon jus d'amour mon amour". Alors qu'il suce délicatement mon doigt, je frotte ma chatte contre sa verge. Je le veux en moi, tout à moi, mais la partie ne fait que commencer...
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